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Affaire DSK: C'est de la banalité qu'on crève

Temps de lecture : 11 min

Dans ses faits supposés comme dans les réactions qu'elle a suscitées, l'affaire DSK est d'une consternante banalité. Celle qui caractérise le phénomène à l'origine et au cœur de tout ce battage: le viol.

Des membres du syndicat des travailleurs hôteliers de New York devant la Cour Suprême de New York pour soutenir la femme de chambre qui accuse Dominique Strauss-Kahn. REUTERS/Shannon Stapleton
Des membres du syndicat des travailleurs hôteliers de New York devant la Cour Suprême de New York pour soutenir la femme de chambre qui accuse Dominique Strauss-Kahn. REUTERS/Shannon Stapleton

La fille, une pucelle bien sûr, se débattait, résistait, avec des supplications basses, chuchotées ; tandis que le garçon, muet, la poussait quand même vers les ténèbres d'un coin de hangar, demeuré debout, sous lequel d'anciens cordages moisis s'entassaient. C'étaient Catherine et le grand Chaval. Mais Étienne ne les avait pas reconnus au passage, et il les suivait des yeux, il guettait la fin de l'histoire, pris d'une sensualité, qui changeait le cours de ses réflexions. Pourquoi serait-il intervenu ? Lorsque les filles disent non, c'est qu'elles aiment à être bourrées d'abord.

Émile Zola,

Germinal

***

Stupeur, étonnement, sidération, ahurissement: les mots n'ont pas manqué aux lendemains du 14 mai.

Dans un premier camp, on n'y croyait pas. Complot, erreur sur la personne, malentendu, pudibonderie, changement d'avis: ça ne pouvait pas exister. On en a gloussé, même, on se l'est mise derrière l'oreille: ça n'était pas sérieux, pas possible, on se foutait visiblement de notre gueule, et on avait là la preuve que, vraiment, de l'autre côté de l'Atlantique, ils ne sont pas comme nous...

Dans un second camp, pareil, on avait la mâchoire décrochée, mais pour d'autres raisons, inverses, complètement à l'opposé: comment mettre a priori en doute la parole de Nafissatou Diallo, comment caqueter sur un troussage de domestique, comment prendre sa solitude, ce jour-là, dans cette chambre-là, comme un motif de suspicion, comment afficher, sans honte ni fard, de tels réflexes de caste, comment hennir sur les qualités de l'homme, de l'ami, de sa femme, comment touiller viol, séduction, harcèlement et libertinage, comment en appeler au choc culturel, comment parler de vie privée...

En bref: comment pouvait-on en être encore là?

Consternante banalité

Tout simplement parce que nous en sommes encore là: cette affaire, dans ses faits supposés comme dans les réactions qu'elle a suscitées, est loin d'être véritablement surprenante. Au contraire, elle est banale. Une consternante banalité qui caractérise aussi, évidemment, le phénomène à l'origine et au cœur de tout ce battage: le viol.

A les voir, à les entendre, c'est comme si les petits soldats et les petites soldates de DSK pressaient la cadence pour effectuer les manœuvres les plus attendues, les plus prévisibles – pas un pas, pas un mot plus haut que l'autre. Aucun défaut dans leur chorégraphie et pour cause: elle s'orchestre depuis des millions d'années, même si sa partition ne porte un nom depuis à peine 150 ans. Celui de sélection sexuelle.

Le viol comme conflit entre stratégies reproductrices

Car c'est peut-être dans le viol que les différences des sexes se manifestent de la manière la plus douloureuse. C'est peut-être le viol –auquel les naturalistes préfèrent le terme de «coercition sexuelle»– qui signe le plus nettement le conflit entre les stratégies reproductrices des femelles et des mâles –un conflit que l'on retrouve chez toutes les espèces sexuées.

Chez les autres animaux, le viol est très commun, on l'observe chez des oiseaux, des insectes, des mammifères... Chez l'humain, le viol est universel. Il concerne toutes les classes sociales, toutes les catégories socio-professionnelles, toutes les origines ethniques, culturelles et géographiques, toutes les configurations physiques et intellectuelles, tous les régimes politiques, toutes les époques historiques... Seul critère discriminant: le sexe; les victimes de viol sont, à 90%, de sexe féminin.

Car il n'y a pas de poule et d’œuf: le pouvoir et la biologie font système, dans la concomitance d'organismes sélectionnés pour survivre et se reproduire, ce qui signifie se battre pour s'adapter à un environnement donné, et se battre suffisamment longtemps pour transmettre ses gènes aux générations suivantes.

Une réalité décrite de manière certes caricaturale et naïve, mais néanmoins didactique par Hugh Hefner: «L'idée voulant que Playboy transforme les femmes en objets sexuels est ridicule. Les femmes sont des objets sexuels. Si les femmes n'étaient pas des objets sexuels, les générations ne se succèderaient pas. C'est l'attraction entre les sexes qui fait tourner le monde. Et c'est pour cela que les femmes mettent du rouge à lèvre et des mini-jupes».

Le viol trop répandu pour être une «anomalie» de l'évolution

D'une manière plus scientifique, tous les chercheurs sont d'accord pour dire que le viol est un comportement sexuel suffisamment répandu pour ne pas être taxé d'anomalie.

Une étude, désormais classique, de Neil Malamuth, estime que, si on leur garantit une totale impunité, près de 35% des hommes auraient une quelconque probabilité à commettre un viol.

Et lorsqu'on analyse la fréquence des mots-clés sexuels dans les moteurs de recherche sur Internet, le terme de «viol» arrive en 36ème position sur 100 [1].

Par contre, aucun consensus ne circonscrit encore sa situation évolutive exacte. Pour une partie de scientifiques, le viol est un phénomène adaptatif en lui-même [2], qui offre à l'homme une stratégie alternative d'accès aux femmes, et qui contribue directement à son succès reproductif en augmentant son nombre de partenaires sexuelsce serait d'ailleurs l'une des raisons pour laquelle les violeurs ne sont quasi jamais exclusivement violeurs, et que le viol demeure minoritaire quand on compare sa fréquence à celle des relations sexuelles consenties (qu'on parle, là encore, de notre espèce, ou non).

Pour une autre frange de chercheurs, le viol n'a pas été directement sélectionné par l'évolution, mais découle plutôt, en tant que «sous-produit», de caractères adaptatifs masculins, en particulier ceux liés à la diversification sexuelle, à la domination, et à l'agression.

L'évolution divergente de nos sexualités

Dans cet article, ces deux hypothèses seront donc considérées comme aussi crédibles l'une que l'autre, et je les mettrai à profit de manière équivalente. Mais dans tous les cas, et en attendant que cette question soit définitivement tranchée, les causes ultimes (ou premières) du viol restent à chercher du côté de l'évolution divergente de la sexualité féminine, et de la sexualité masculine.

En l'état actuel de nos connaissances, le viol a très probablement évolué en tant que réponse aux mécanismes psychologiques, eux aussi fruits de l'évolution, qui régissent la sexualité féminine, et qui ont permis aux femmes de choisir entre différents partenaires sexuels.

Si les femmes avaient été sélectionnées par l'évolution pour répondre à n'importe quelle sollicitation sexuelle, qu'importent les individus et les circonstances, le viol n'aurait certainement jamais vu le jour.

De même, si les hommes avaient été sélectionnés par l'évolution pour répondre uniquement à certaines sollicitations sexuelles, de la part de certaines femelles, et dans certaines circonstances, le viol serait, là aussi, probablement beaucoup moins fréquent.

Et s'ils avaient été sélectionnés pour ne s'accoupler uniquement qu'avec celles qui manifestent, sans l'ombre d'un doute, un désir réciproque de le faire, le viol serait fatalement impossible...

Réflexes de vestiaire

Banalités donc que ces réflexes de caste (ou devrait-on dire «de vestiaire»). Toutes ces minimisations, ces recherches d'excuses, ces il n'y a pas mort d'homme sont parfaitement logiques, si on raisonne en termes évolutifs: le caractère négatif et la gravité du viol, en tant que stratégie reproductive annihilant totalement le choix reproductif de la femme, ne vont pas de soi, en moyenne, dans des yeux masculins.

De même, dans les enquêtes sur la violence sexuelle, fondées sur les témoignages des victimes et de leurs agresseurs, il est désormais admis que les hommes ont tendance à minimiser leurs actes, alors que les femmes décrivent bien plus fidèlement la réalité des faits [3].

Banalités ensuite que ces amalgames entre viol, séduction, harcèlement et libido. Il est d'ailleurs très caractéristique de voir que ces mélanges ont été exprimés chez beaucoup de femmes, certaines déplorant même le caractère «révélateur» de l'affaire DSK, en y voyant les dérèglements d'un féminisme devenu fou (au secours ! elles vont tous les transformer en grosses chochottes !).

Le risque féminin de la reproduction

Caractéristique, car tout au long de l’histoire de l’évolution, les hommes et les femmes ont été confrontés à des défis reproductifs différents. Si, comme chez presque tous les mâles d’autres espèces, les hommes réussissent à se reproduire sans que cela leur demande trop de temps et d’énergie (une fois le rapport sexuel terminé, leur contribution peut s’arrêter là), au contraire, une femelle mammifère, et a fortiori une femme humaine, devra investir a minima plusieurs mois dans une gestation, aboutissant en général à une mise au monde risquée.

Un risque qui n'a pas été aboli avec notre sortie des cavernes, puisque dans le monde, aujourd'hui, la grossesse est la seconde cause de mortalité des femmes. À cela, nos ancêtres féminins devaient ajouter une longue période d’allaitement et plusieurs années de soins si elles voulaient s’assurer de la survie de leurs gènes.

En d'autres termes, si les hommes peuvent avoir beaucoup d’enfants sans trop d’efforts, il incombe à la femme plus de difficultés pour mener à bien des tentatives plus rares, et c'est ainsi que le viol vu comme sous-produit d'attributs sexuellement attractifs pour les femmes – la force, l'autorité, le statut social, et d'autres critères qui assurent d'une bonne qualité génétique et/ou d'un bon investissement parental – parle pour ces millénaires d'évolution où le féminin était synonyme de dépendance. [4]

Une stratégie de servitude volontaire payante

Cette stratégie de «servitude volontaire» a d'ailleurs été payante, car des analyses génétiques prouvent que dans toute l'histoire de l'humanité, 80% des femmes se sont reproduites et ont passé leurs caractères «choisis» aux générations suivantes, contre 40% des hommes. [5]

Ce qui se retrouve, de manière tout aussi peu surprenante, dans toute une production culturelle, commerciale, esthétique et idéologique de femmes passives, de femmes en attente, en seconde ligne.

De ces femmes avouant ouvertement soumettre leur potentiel partenaire au «test du porte-monnaie» et chercher celui qui répondra à leurs besoins, les invitera à dîner, paiera la note, les ramènera chez elle...quitte à ce que ce genre de comportements soient précisément ceux qui augmentent les risques de viol.

Suspicion de la femme seule

Banalité aussi que cette suspicion sur la femme seule. Nafissatou Diallo, nous disent d'éminents intellectuels, n'avait pas à venir faire son ménage seule, et elle n'avait même pas à travailler dans un hôtel tout court, lieu de mauvaise vie, entend-on chez une partie de la communauté guinéenne de New York.

Ou: le poncif millénaire de l'isolement comme circonstance aggravante du viol. Pas du viol, en soi, mais aggravant la suspicion qui entoure sa victime «celle en particulier qu'aucun tuteur, père ou mari, ne peut protéger». [6]

Pas étonnant, vraiment pas, qu'on retrouve d'ailleurs cet argument dans le procès d'Aix-en-Provence, en 1978, où un Président de Cour d’Assises demandait aux victimes: «pourquoi avoir choisi un endroit aussi isolé?» [7]

Un isolement contre lequel le contrôle et le refoulement historiques de la sexualité féminine ont joué un rôle de contre-adaptations, au même titre que les chaperons et le mariage, avec tout de même quelques ratés, vu que le viol conjugal concerne entre 10 et 17% des unions [8], et jusqu'à la moitié [9] des couples où la femme est déjà victime de violences non-sexuelles de la part de son mari.

Un phénomène qui appuierait d'ailleurs l'hypothèse du viol comme adaptation et stratégie reproductive « à part », vu que le viol conjugal serait directement lié à la compétition spermatique, tant la grande majorité de ces viols se déroulent lorsque le mari craint que sa femme l'ait trompé.

Un seuil de tolérance qui s'abaisse

Mais, comme la théorie darwinienne nous apprend aussi (et peut-être surtout) que l'évolution est une succession d’essais et d’erreurs correspondants à des configurations toujours provisoires d’environnements et de contextes, cette dernière banalité pourrait nous montrer ce qui se joue le plus, aujourd'hui (et heureusement) dans la récente et progressive stigmatisation sociale du viol.

A savoir que le seuil de tolérance s'abaisse face à ce «bonus» reproductif masculin, ou à cette punition «normale» des femmes qui ne jouent pas le jeu que leur sexe leur dicte depuis les origines.

Celles qui n'optent ni pour la servilité, ni pour la prudence, ni pour la résignation –à rebours, donc, de la très grande majorité des femmes au cours de l'évolution.

Celles qui ne consentent pas à échanger une sécurité procréative contre une mise en sourdine de leur subjectivité, qu'elle soit sexuelle ou non, celles qui ne se voient pas comme un espace public, un signal de porte toujours ouverte –comme dans cette expérience où le coq est excité par la poule, même si cette «poule» est constituée d'une crête de cadavre, piquée sur un animal postiche sans corps ni queue. Celles qui disent non quand elles disent non, et qui ne signifient nullement leur désir d'être bourrées d'abord.

Peut-être qu'il y a à espérer alors, oublier sa consternation; espérer que l'affaire DSK soit l'un des derniers chants du cygne d’adaptations évolutives en voie de péremption.

Espérer que les mutations sexuelles et sociales de ces quelques dernières dizaines de décennies fassent souche, et que la révolution des mœurs –qui signifie aussi promotion et défense du choix et du consentement des femmes– ne puisse jamais être taxée d'anomalie évolutive

Peggy Sastre


[1] Cf. Ogas & Saddam, 2011, A billion wicked thoughts, Dutton, p.253. Retour à l'article

[2] Alexander, R., & K. Noonan, 1979 Concealment of Ovulation, Parental Care, and Human Social Evolution. In Evolutionary Biology and Human Social Behavior, N. Chagnon & W. Irons, eds. pp. 436–453. North Scituate, MA: Duxbury Press ; Palmer, C. T., 1991 Human Rape: Adaptation or By-product? Journal of Sex Research 28:365–386 ; Thornhill, R., & C. T. Palmer, 2000 A Natural History of Rape. Cambridge, MA: MIT Press ; Thornhill, R., & N. W. Thornhill, 1983, Human Rape: An Evolutionary Analysis. Ethology and Sociobiology 4:137–173. Retour à l'article

[3] Dobash, R. E., R. P. Dobash, K. Cavanagh, & R. Lewis, 1998, Separate and Intersecting Realities: A Comparison of Men’s and Women’s Accounts of Violence against Women. Violence against Women 4:382–414 ; Edleson, J., & M. Brygger, 1986, Gender Differences in Reporting of Battering Incidents. Family Relations 35:377–382 ; Magdol, L., T. E. Moffitt, A. Caspi, D. L. Newman, J. Fagan, & P. A. Silva, 1997, Gender Differences in Partner Violence in a Birth Cohort of 21-year-olds: Bridging the Gap between Clinical and Epidemiological Approaches. Journal of Consulting and Clinical Psychology 65:68–78 ; O’Leary, K. D., & I. Arias, 1988 Assessing Agreement of Reports of Spouse Abuse. In Family Abuse and its Consequences, G. T. Hotaling, D. Finkelhor, J. T. Kirkpatrick, & M. Straus, eds. pp. 218–227. Newbury Park, CA: Sage ; Shackelford, T. K., A. T. Goetz, D. M. Buss, H. A. Euler, & S. Hoier, 2005, When We Hurt the Ones We Love: Predicting Violence against Women from Men’s Mate Retention. Personal Relationships 12:447–463. Retour à l'article

[4] Buss D.M., 1995, The Evolution of Desire. Strategies of Human Mating, Basic Books ; Forsyth A., 1993, A Natural History of Sex: The Ecology and Evolution of Mating Behavior, Chapters Pub. ; Geary D.C., 2003, Hommes, femmes. L’évolution des différences sexuelles humaines, De Boeck ; Miller G., 2001, The Mating Mind. How Sexual Choice Shaped the Evolution of Human Nature, Vintage ; Burriss R. P, & A.C. Little, 2006 , Effects of partner conception risk phase on male perception of dominance in faces, Evol. Hum. Behav., 27, 297-305. Retour à l'article

[5] Hammer MF, Garrigan D, Wood E, Wilder JA, Mobasher Z, Bigham A, Krenz JG, Nachman MW, 2004, Heterogeneous patterns of variation among multiple human x-linked Loci: the possible role of diversity-reducing selection in non-Africans, Genetics, 167(4):1841-53 ; Wilder JA, Kingan SB, Mobasher Z, Pilkington MM, Hammer MF, 2004, Global patterns of human mitochondrial DNA and Y-chromosome structure are not influenced by higher migration rates of females versus males, Nat Genet., Oct., 36(10):1122 ; Wilder JA, Mobasher Z, Hammer MF, 2004, Genetic evidence for unequal effective population sizes of human females and males, Mol Biol Evol., Nov. 21(11):2047-57. Retour à l'article

[6] George Viagrello, Histoire du viol, Points Seuil, p.291. Retour à l'article

[7] Choisir la cause des femmes, 1978, Viol: le procès d'Aix-en-Provence : compte rendu intégral des débats, Gallimard, Paris, p.145. Retour à l'article

[8] Finkelhor, D., & K. Yllo, 1985, License to Rape. New York: Holt, Rinehart, and Winston ; Painter, K., & D. P. Farrington, 1999, Wife Rape in Great Britain. In Women and Justice, R. Muraskin, ed. Pp.135–164. New York: Gordon and Breach ; Russell, D. E. H., 1982, Rape in Marriage. New York: Macmillan Press. Retour à l'article

[9] Bowker, L. H., 1983, Marital Rape: A Distinct Syndrome? Social Casework: The Journal of Contemporary Social Work 64:347–352 ; Campbell, J. C., & K. L. Soeken, 1999, Forced Sex and Intimate Partner Violence: Effects on Women’s Risk and Women’s Health, Violence against Women 5:1017–1035 ; Frieze, I. H., 1983, Investigating the Causes and Consequences of Marital Rape. Signs: Journal of Women in Culture and Society 8:532–553 ; Pagelow, M. D., 1981 Woman-battering. Beverly Hills, CA: Sage ; Shields, N. M., & C. R. Hanneke, 1983, Battered Wives’ Reactions to Marital Rape. In The Dark Side of Families, R. Gelles, G. Hotaling, M. Straus, & D. Finkelhor, eds. Pp. 131–148. Beverly Hills, CA: Sage. Retour à l'article

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