Une nouvelle génération de réalisateurs de films d'horreur, inspirés par les films des années 60 et 70, s'enorgueillit de son indépendance et se tient prête à dédaigner Hollywood explique le Wall Street Journal. Ils viennent de pays comme la France et l'Espagne, qui n'avaient, jusqu'à récemment, aucune réelle tradition de films d'horreurs. Ils ont une approche artisanale et travaillent avec de petits budgets, ce qui sied parfaitement aux temps qui courent.
Ces réalisateurs sont l'espagnol Juan Antonio Bayona, le Suédois Tomas Alfredson ou le français Pascal Laugier, qui tous utilisent des images effrayantes et gores, mais racontent aussi des histoires aux messages politiques et sociaux sous-jacents.
L'Orphelinat, de Juan Antonio Bayona
Les festivals de renom, comme celui de Cannes ou de Venise, ont commencé à embrasser cette tendance nouvelle, avec par exemple Antichrist de Lars Von Trier, lors de la dernière édition cannoise.
[Lire l'article complet sur Wall Street Journal]
image de une: Antichrist de Lars Von Trier.
Vous souhaitez proposer un lien complémentaire sur ce sujet ou sur tout autre sujet d'actualité? Envoyez-le à infos @ slate.fr