En haut de l'image, Jean-François Copé en conférence de presse au siège de l'UMP, proclamant sa victoire sur François Fillon pour la tête du parti, dimanche 18 novembre.
En bas, Jean-François Copé en conférence de presse au siège de l'UMP, proclamant sa victoire sur François Fillon pour la tête du parti, lundi 19 novembre. Sauf que cette fois-ci, c'est officiel.
Et entre les deux images, quelques différences notables. Saurez-vous les retrouver?
1. Qui est le monsieur au visage poupin qui se situe à droite (pour le lecteur) de Jean-François Copé sur les deux photos?
2. A l’extrême gauche (de la photo, bien sûr), une dame blonde arbore un grand sourire. Saurez-vous retrouver son identité (attention, ça n'est pas la même)?
3. Qui fait la moue sur la photo d’en haut, à gauche de Jean-François Copé?
4. Qui est la femme brune qui apparaît à gauche sur les deux photos?
5. Un ancien Premier ministre se cache sur ce montage. Saurez-vous le retrouver?
6. Mais où est Charlie... euh, Bruno Le Maire? Et Nathalie Kosciusko-Morizet?
7. Observez attentivement les deux photos ci-dessous des soutiens de François Fillon: laquelle de ces deux photos a été prise après l'annonce de victoire de Copé par la Cocoe?
Réponses
1. Il s'agit d'Edouard Courtial, ancien secrétaire d'Etat chargé des Français de l'étranger.
2. Sur la photo du haut, il s'agit de la députée des Alpes-Maritimes Michèle Tabarot, troisième sur le «ticket» du gagnant (après Jean-François Copé et Luc Chatel), qui devient secrétaire générale de l'UMP. En bas, vous aviez bien entendu reconnu Nadine Morano, que l'on ne présente plus.
3. C'est Roger Karoutchi, ancien secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement et soutien de Jean-François Copé.
4. C'est Nadia d'Alincourt, la femme de Jean-François Copé.
5. Jean-Pierre Raffarin.
6. Pas là, et pour cause: ils ne soutenaient aucun des deux candidats.
7. C'est évidemment la photo sur laquelle Valérie Pécresse fait la gueule, comme en témoigne la photo complète, sur laquelle on distingue en bas à droite le petit logo «Copé élu».
Jean-Laurent Cassely