«J’ai réservé le bon hôtel, mais dans le mauvais pays», a résumé Michael Adendorff au Dominion Post après avoir erré en vain avec sa femme à Eastbourne en Nouvelle-Zélande à la recherche de l’hôtel Majestic, où ils devaient rester deux jours, le temps d’assister à un match de la coupe du monde de rugby.
Seulement, ni l’hôtel ni la rue indiquée sur leur réservation n’est repérable. Le couple sud-africain décide alors de demander son chemin à une pharmacienne du quartier, Linda Burke, qui leur fait remarquer que l’hôtel en question se trouve en Angleterre, à près de 19.000 kilomètres de la Nouvelle-Zélande. Une surprise qui attendait également un couple de Britanniques en 2002, qui prévoyait d’arriver à Sydney, en Australie, et a atterri à Sydney, en Nouvelle-Ecosse au Canada.
Eastbourne et Sydney ne sont pas les seules villes à avoir un double homonymique. Paris n’a également pas le monopole de son nom; une ville texane, fondée par le commerçant George W. Wright, le porte depuis 1844, après avoir été nommé Lafayette en hommage au marquis français qui s’était porté au secours de la Révolution américaine. C’est un des employés français originaire de Louisiane, Thomas Poteet, qui a suggéré le changement du nom de la ville.