«Internet ne peut pas être quelque chose d'ouvert, libre, où tout peut être dit et écrit. Chaque pays doit pouvoir y faire appliquer ses lois et ses standards.» Hugo Chavez, 13 mars 2010.
Point de départ de ce courroux présidentiel, la publication sur le site Noticiero Digital qu'un de ses proches conseillers, Diosdado Cabello, avait été assassiné. Selon Chavez, l'information, fausse, est restée en ligne deux jours.
Nous devons agir, a martelé le président vénézuélien. Nous allons demander au procureur de s'en occuper, parce qu'il s'agit d'un crime. Les informations sur ce site que j'ai en ma possession m'indique qu'il publie régulièrement des articles qui appellent au coup d'Etat. Ce n'est pas possible.
Selon Reuters, les réseaux sociaux comme Twitter et Facebook, très populaires parmi les opposants au président Chavez pour organiser des manifestations, sont dans le collimateur du chef de l'Etat vénézuélien.