Hospitalisé le 9 décembre dernier puis plongé dans un coma artificiel, déclaré au bord de la mort puis réapparu publiquement, Johnny Hallyday a monopolisé l'attention des médias pendant près d'un mois.
Dans une enquête fleuve, L'Express revient mercredi sur «les dessous de l'affaire Johnny». Une «affaire» sous laquelle on découvre qu'il a surtout été question «d'intérêts financiers considérables autour d'une tournée compromise, du crépuscule d'un producteur Jean-Claude Camus et de la prise de pouvoir, au sein du clan, par David Hallyday».
L'enquête résonne avant tout comme un portrait à charge du producteur de Johnny Hallyday dont la communication de crise a été considérée comme «désastreuse» par la famille du chanteur. Un épisode qui «pourrait signer une rupture». Dépeint comme soucieux de préserver avant tout ses intérêts financier, pariant «à quitte ou double» sur chaque étape de la carrière de Johnny, Jean-Claude Camus n'aurait pas hésité rune seconde avant de dénoncer un «massacre» à propos de l'intervention chirurgicale du docteur Delajoux. «Pour le producteur, le praticien est celui qui devra porter, face aux compagnies d'assurances, l'entière responsabilité des ennuis de santé du chanteur - et donc les conséquences financières d'une fin de carrière prématurée ou, au mieux, d'une tournée ajournée» raconte L'Express.
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Image de Une: Johnny Hallyday Eric Gaillard / REUTERS