«Les danseuses vont se rhabiller. Les plumes seront remisées dans un placard. Et le champagne conservé au frais. La fête est finie à Bobin’O.» Le Parisien remarque que les cabarets parisiens commencent à être touchés par la crise.
Le Bobin’O va fermer cinq mois, le Paradis Latin tous les lundi, le Lido fait des promotions. «Si les cabarets disparaissent, c’est toute l’image de Paris qui va en souffrir», prévient Jean-Claude Hallé, conseiller auprès du directeur du Paradis Latin, cabaret dans le cinquième arrondissement.
Photo Spectacle au Bobin'O, site du cabaret.
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