Vous pensiez que dire le «I screwed up»(«J'ai foiré») lancé par Obama était, au choix, pas bien présidentiel, ou très honnête? Réjouissez-vous, voici un nouvel exemple du langage très décontracté utilisé par le nouveau locataire de la Maison Blanche.
Dans la version audio de son best-seller «Dreams of my father» («Les rêves de mon père»), le futur président américain cite un ami de lycée, Ray, qui avait la facheuse habitude de jurer à tout va. Du coup, c'est Barack Obama, lui-même conteur de son livre, qui se retrouve à enchaîner les «bitch», «nigga», et autres «motherfucker» qui pimentent les mots de Ray.
Un détail relevé par le blog du Boston Phoenix et d'April Winchell, qui met en ligne les meilleurs extraits du Président des Etats-Unis presque aussi déchaîné que Christian Bale.
(Photo : wikimedia, Elizabeth Cromwell)
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