Santé

Ces séjours à la maternité qui virent au cauchemar (ou presque)

Temps de lecture : 13 min

Après un accouchement, le séjour à la maternité est souvent un moment privilégié pour partir à la découverte de son enfant et de son rôle de mère. Mais parfois, ces quelques jours sont loin de se passer comme prévu.

PHILIPPE HUGUEN / AFP
PHILIPPE HUGUEN / AFP

«Cette femme vous traitait comme une irresponsable et une inconsciente. Pour elle, vous laissiez votre enfant mourir de soif. Vous avez dû voir rouge!» Chantal Ducroux-Schouwey, présidente du Ciane, Collectif interassociatif autour de la naissance, est estomaquée par ce que je viens de lui raconter: comment une puéricultrice a fait irruption dans ma chambre, et a profité que je sois endormie pour donner à boire à ma fille. Je l’allaitais, mais il faisait extrêmement chaud et mon lait se faisait attendre.

Cette femme m’avait déjà rendu visite plusieurs fois depuis que j’avais rejoint ma chambre, insistant pour que je donne des biberons d’eau à mon bébé. Je refusais toujours poliment. Cette fois-là, quand j’ouvre les yeux, je la vois, ma fille dans les bras, lui donnant le biberon. Cette situation m’a semblé totalement ubuesque. Pourtant, racontant l’anecdote autour de moi, je me suis aperçue que mon cas était tout sauf isolé.

Épuisée, les hormones en fusion, parfois effrayée, souvent un peu perdue, une femme qui vient d’accoucher a juste besoin d’être entendue et accompagnée. La plupart du temps, c’est ainsi que se déroulent les heures et les jours qui suivent l’accouchement. Mais parfois, la désillusion est totale. Eva n’y croyait pas en entendant ces mots alors qu’elle se trouvait sur la table d’accouchement: «Ah non hein! Vous n’allez pas vous mettre à chialer maintenant!», «arrêtez de crier, vous êtes mon deuxième sans péri et j'ai les tympans fatigués . À la maternité, certaines femmes sont critiquées, grondées, parfois ignorées par des membres du personnel. Une expérience inattendue alors qu’on pensait vivre le plus beau jour de sa vie.

«Une diatribe agressive et une avalanche de reproches»

Le compagnon de Marie a fini par exiger d’une puéricultrice qu’elle quitte la chambre de sa compagne. C’est «le souvenir le plus douloureux» de son séjour à la maternité, se souvient Marie qui évoque la visite d’une puéricultrice, alertée en pleine nuit par les pleurs du nouveau-né. «Au lieu de respecter ma décision de ne pas pratiquer le co-dodo, j’ai entendu cette professionnelle me reprocher de ne penser qu’à mon confort personnel. Ce n’était que le début d’une diatribe agressive et d’une avalanche de reproches: je ne savais pas prendre soin de mon enfant.»

Julie raconte quant à elle sa crise d’angoisse en pleine nuit alors que la température de son bébé ne dépassait pas les 35°.

«Je sonne. Une puéricultrice rentre dans la chambre. Je lui dis, paniquée, que mon fils a une température de 35°C. Elle me répond sèchement: “Ah, en effet, ce n’est pas beaucoup. Mettez-le sur vous.” Et elle se casse! Elle me laisse là toute seule avec mon angoisse et mon impuissance, sans une explication, une vérification de température ou un coup de main.»

Une peau de vache dans chaque équipe?

Comportements agressifs, culpabilisants, reproches et indifférence… de nombreuses femmes savent désormais que le séjour à la maternité est souvent loin de l’escale réconfortante qu’on avait imaginée. Pour Clémentine, sage-femme, les parents ne prennent tout simplement pas la mesure de ce qui les attend. Et il arrive qu’ils tombent de haut. Elle évoque une «idéalisation» de la maternité.

«Devenir parent est une période très intense psychologiquement, une période de transition et d'apprentissage. Pour certaines personnes, un nouveau-né ne fait que dormir et manger. Ce n'est évidemment pas la réalité: c'est déjà un être doué de relation et qui pleure car c'est leur seul moyen d’expression.»

Mais dans la réalité, il suffit aussi d’une peau de vache dans une équipe de soignant(e)s pour que le séjour à la maternité d’une jeune maman devienne un enfer. Marine le reconnaît volontiers, les soignants hostiles existent bel et bien.

Dans chaque équipe, il y a toujours une ou deux collègues qui ne prennent pas soins des mamans et qui ont des comportements inadaptés

«Dans chaque équipe, il y a toujours une ou deux collègues qui ne prennent pas soins des mamans et qui ont des comportements inadaptés, admet la sage-femme. Dans l'équipe, on les connaît. Personnellement, quand je passe derrière cette collègue, je sais que je vais prendre plus de temps avec les mamans, les rassurer et leur demander si la nuit, ou la journée, s'est bien passée pour leur laisser la possibilité de se confier.»

«Nous ne prenons pas le temps qu’il faudrait pour les mamans»

Ce personnel soignant qui perd patience, c’est aussi la conséquence d’un système de santé qui compte le temps passé auprès des patients. Marine dénonce un hôpital en crise qui laisse peu de place à l’écoute et au dialogue.

«En maternité, cela se ressent aussi. Nous ne prenons pas le temps qu'il faudrait pour les mamans. Parfois, lors du travail et de l'accouchement, nous ne pouvons pas rester au chevet de la patiente. Pour une maman qui souhaite accoucher sans péridurale par exemple, c'est presque impossible pour elle de réaliser son souhait. La sage-femme devrait pouvoir être auprès d'elle en continuité pour l'aider à gérer sa douleur et la guider. Mais le plus flagrant est en service de suite de couches. Les mamans se retrouvent seule avec un bébé encore “inconnu”. La présence de la sage-femme est indispensable pour les rassurer, les guider, leur apprendre à connaitre leur bébé. Souvent nous répondons aux grandes questions, mais n'allons pas creuser plus loin par manque de temps.»

Pour Clémentine, il faudrait tout simplement moins compter sur le séjour à la maternité pour apprendre à s’occuper d’un bébé. «Trouver un moment où les parents sont disponibles et prêts à écouter sereinement est extrêmement difficile: il y a la fatigue, le bébé qui pleure, la douleur», comprend-elle. Quand Chantal Ducroux-Schouwey rencontre le personnel soignant, elle leur demande surtout d’avoir confiance dans les femmes. «Eux ont confiance dans leur savoir et leur connaissance. Ils doivent aussi apprendre à faire confiance aux femmes et à les écouter.»

«Des dégâts considérables»

Rattraper le coup, comme peut le faire Marine, c’est bien, mais c’est parfois insuffisant. Des débuts compliqués avec son bébé peuvent mener à des «dégâts considérables», affirme la présidente du Ciane. Delphine reconnaît ainsi avoir «été très marquée» pendant son séjour à la maternité et «au-delà, pendant quelques mois». Dans son cas, c’est l’obstétricien qui a eu des mots très durs.

Alors que son bébé était mal positionné et qu’elle poussait depuis déjà un moment, elle a exprimé sa peur auprès du médecin. «Taisez-vous», s’est elle entendue répondre. Celui-ci ne voulait pas du papa pendant qu’il sortait le bébé à la ventouse et l’avait congédié. Delphine était alors seule, inquiète. «Jusque-là, je n'avais aucunement crié, je ne me plaignais pas, mais au bout d'un moment, voyant que cela mettait du temps, j'ai exprimé cette peur». Bien mal lui en a pris.

Des débuts ratés et des conséquences lourdes, Mélanie sait aussi ce que c’est. «Je me suis retrouvée seule avec mon bébé dans cette chambre aseptisée avec pour seul contact un interphone où appeler en cas de nécessité. Sauf que clairement l’idée n’était pas que les infirmières se déplacent pour rien. Et a priori, elles estimaient que le stress d’une jeune mère se sentant fatiguée et perdue n’était pas un motif de visite. Cette première nuit a été traumatisante pour moi. À la suite de celle-ci, je n ai pas été en capacité d être seule avec mon bébé pendant plus d’un mois, j’avais peur de mal faire.» Mélanie en est certaine: «Les infirmières m’ont jugée et me parlaient avec agressivité car je n’allaitais pas.»

L’allaitement, source de malaise

Qu’on fasse le choix d’allaiter ou pas, l’allaitement est bien souvient une question critique, à l’origine de crispations et de tensions. «En tant que sage femme, nous devons promouvoir l'allaitement maternel et présenter les options mais en aucun cas nous devons être jugeantes et culpabiliser les mamans! Elles y arrivent parfaitement seules!», commente Maryline.

Emilie a fait le choix de ne pas allaiter son enfant et affirme qu’à cause de ce choix, elle n’a pas été traitée de la même manière que les autres mamans. «J'étais sans sommeil depuis beaucoup trop longtemps et un peu désemparée face à une petite fille qui pleurait beaucoup. J'ai fait appel aux sages-femmes de nuit car je ne savais pas comment la calmer. On m'a dit: “débrouillez-vous, cherchez, elle a peut être faim ou chaud”. Nuit blanche pour finir. Le lendemain, mon compagnon demande à ce que notre bébé soit mis à la nurserie pour la nuit suivante car j'avais besoin de récupérer. On lui répond “non”, car je n'allaite pas. On apprendra par la suite que si j'avais allaité, le personnel hospitalier m'aurait proposé de prendre le bébé dès la première nuit si j'étais fatiguée.» Pour cette maman, impossible de ne pas y voir une injustice.

Un jour, elle lance à une patiente, sur un ton très désagréable: “mais vous voulez allaiter ou pas?”. La patiente a balbutié un “oui” et a donc poursuivi un allaitement sous contrainte durant les deux jours de travail de la sage-femme, jusqu'à ce qu'elle s'effondre

Maryline se souvient d’une sage-femme rencontrée au cours de ses études «qui traumatisait littéralement les femmes. Un jour, elle lance à une patiente, sur un ton très désagréable: “mais vous voulez allaiter ou pas?”. La patiente a balbutié un “oui” et a donc poursuivi un allaitement sous contrainte durant les deux jours de travail de la sage-femme, jusqu'à ce qu'elle s'effondre au changement d'équipe en disant qu'elle voulait arrêter mais qu'elle culpabilisait, que ce n'était pas une bonne mère... Je m'en souviendrais toute ma carrière de cette femme! Elle rentre dans la catégorie de celles qui garderont un souvenir amer de leur passage à la maternité.»

Allaiter, un geste inné?

Nourrir son enfant revêt pour une mère, parfois peu confiante en elle, une symbolique particulière. Un sentiment d’incompétence peut s’accentuer si l’allaitement ne fonctionne pas du premier coup. Pourtant, les premières mises au sein d’un nourrisson sont souvent délicates et compliquées, mieux vaut que les femmes en soient bien conscientes à l’avance.

Certaines mères rapportent avoir été mal reçues par le personnel soignant alors qu’elles ne demandaient que des conseils. Julie, au sujet d’une puéricultrice: «Elle arrive, je lui dis qu'il pleure et ne veut pas téter, et elle me lance sèchement “vous n'avez pas eu de cours de préparation à l'allaitement ou quoi?”. Je me sentais déjà impuissante. Mais en plus d'être une mauvaise mère j'ai aussi été une mauvaise élève…» Dans la plupart des témoignages, le ressenti est identique. Les mères culpabilisent de ne pas savoir nourrir leur enfant alors qu’il s’agit là de son besoin primaire. Elles ne se sentent pas à la hauteur de la responsabilité qui leur incombe désormais.

Janice se souvient avoir été «choquée» et «blessée» par la réponse d’une soignante alors qu’elle demandait des conseils pour positionner au mieux son bébé lors de l’allaitement. «Comment vous apprendre quelque chose qui doit être inné?», a-t-elle aboyé. Inné vraiment? Manipuler ce petit être fragile, affamé et éploré de moins de 4 kg est-il inné?

«Je n’ai pas su quoi dire sur le moment. Je me sentais idiote, incapable d'être à l'aise avec un geste vital pour mon enfant. Alors que ce dont j'avais besoin, c'était seulement d'être rassurée.»

Des informations contradictoires

Outre l’absence de conseils ou «les engueulades», les femmes dénoncent des discours qui varient au sein d’une même équipe. « Les conseils tant attendus sur l’allaitement se sont vite imposés comme des ordres, tous différents et contradictoires selon l’auxiliaire présente ce jour-là. Mise au sein brutale, dénigrement et éloge du tire-lait dans une même journée… Ce moment de partage tant attendu avec mon bébé s’est vite imposé comme une corvée, fatigante et douloureuse, me laissant penser que j’étais incapable de nourrir seule mon enfant», raconte Marie.

Chantal Chantal Ducroux-Schouwey recueille régulièrement les mêmes témoignages. «Les femmes sont très déstabilisées par des discours qui ne s’accordent pas au sein des équipes. C’est violent, car elles ont besoin d’avoir confiance en ce qui les entoure mais perdent leurs repères parce qu’elles ne trouvent pas d’unité». Marine qui travaille en tant que sage femme dans un hôpital privé le reconnaît: «Le personnel ne tient jamais le même discours auprès des mamans. D'abord, parce que nous n'avons pas toutes les mêmes formations, les mêmes expériences d’allaitement, le même intérêt et la même conviction à ce sujet. Les mamans nous disent souvent que c'est très déstabilisant».

Tenir tête

Comment réagir quand on s’est battu pour mettre au monde son enfant et qu’on n’a plus de force pour un autre combat, qu’on aimerait aller au front pour défendre son point de vue mais qu’on a juste envie de se planquer sous l’oreiller pour pleurer un bon coup? La présidente du Ciane le répète, une femme doit se faire confiance et écouter son instinct. Pas simple quand une personne dont le métier est de prendre soin des enfants s’oppose à vous.

Christine, elle, a réussi à ne pas se démonter, mais elle avait de la bouteille. «C’était mon troisième enfant, j’ai donc agi plus librement.» Elle a désobéi alors que le personnel lui avait demandé de réveiller sa fille toutes les trois heures, même la nuit, pour la nourrir. La petite, née à terme, pesait moins de 2,5 kg et il avait été question de la transférer en néonatalogie. Constatant que le bébé allait bien, le pédiatre a prescrit une mise au sein toutes les trois heures avec un complément de lait artificiel et un contrôle de la glycémie à chaque tétée.

«Si ce complément a permis de lui éviter de perdre trop de poids et de sortir assez rapidement de la maternité, les injonctions à lui donner à chaque fois le supplément, lui donner de force (pour qu’elle le rejette aussitôt la plupart du temps) et lui donner à boire strictement toutes les 3 heures même la nuit alors que nous étions toutes les deux fatiguées, n’ont pas rendu le séjour très serein. On m’a même laissé entendre que si je continuais comme ça, ma fille allait monter en néonatalogie.»

«Néonatalogie» résonne alors comme une menace, mais Christine tient bon, voyant que sa fille allait bien. La procédure a d’ailleurs été rapidement levée par le pédiatre.

Carine a tenu bon, mais la semaine fut rude. Elle venait de subir une césarienne et affirme n’avoir reçu aucune aide pour l’allaitement. Elle dénonce par ailleurs «l’insistance du personnel soignant de donner des biberons de lait sous prétexte que le bébé ne buvait pas assez et qu'il perdait trop de poids. (…) La semaine n'a été que pressions permanentes pour donner à mon fils du lait industriel alors que je le refusais et des remarques culpabilisantes que l'on n’a vraiment pas envie d'entendre à ces moments-là».

On commence à parler de la violence obstétricale, du point du mari, de l’épisiotomie non-consentie. On commence à en parler mais on est loin d’avoir des chiffres

Des problématiques émergentes

Selon la présidente du Ciane, Marie, Mélanie, Delphine, Janice et les autres ont toutes subi des violences obstétricales. Pour Chantal Ducroux-Schouwey, la violence obstétricale concerne «tout acte commis par des soignants qui n’est pas justifié sur le plan médical et qui fait fi des souhaits de la femme, tout acte dont on n’a pas informé la femme, qui ne lui a pas été expliqué et pour lequel on n’a pas demandé de consentement. Tout propos, réflexion et discours humiliants perpétrés par le personnel de santé durant la grossesse, l’accouchement et les suites de couches». Sur le site du ministère de la Santé, rien sur les violences obstétricales. Nous avons contacté le ministère qui nous a renvoyé au service des droits des femmes, qui nous a lui-même renvoyé à la mission information et communication de la Direction générale de la santé. Pas de réponse.

La présidente du Ciane qui regrette le désintérêt des pouvoirs publics en la matière note tout de même du mieux ces dernières années. «On commence à parler de la violence obstétricale, du point du mari, de l’épisiotomie non-consentie. On commence à en parler mais on est loin d’avoir des chiffres.» Le Ciane a mis en ligne en 2012 une enquête portant sur le vécu de l’accouchement. Les réponses, 19 à 20.000 à ce jour, sont utilisées pour établir des statistiques mais pour l’heure, aucune n’est disponible pour les suites de couches.

Oser dénoncer les comportements abusifs

Pour que les choses s’améliorent, il est important que «que les mamans osent dénoncer les abus», commente Chantal Ducroux-Schouwey. Si les femmes ont besoin d’obtenir une explication sur un geste, une décision médicale, ou une parole incomprise, elles peuvent «s’adresser à la sage femme-cadre ou demander au chef de service de le rencontrer». C’est ce qu’a fait Delphine à la sortie de la maternité. «J’ai eu un entretien avec la psychologue, avec la sage-femme cadre et j'ai fait remonter à la direction de l'hôpital. […] La direction ne m'a contactée que six mois plus tard m'indiquant que le médecin avait pu dire son étonnement et surtout se demandait pourquoi je n'avais pas essayé de lui en parler tout de suite alors que je ne l'ai plus revu après l’accouchement!»

D’autres recours sont ensuite envisageables si les réponses obtenues ne sont pas satisfaisantes. «Les femmes peuvent demander l’intervention d’un médiateur. Si elles veulent aller plus loin, elles peuvent demander la tenue d’une commission des usagers», poursuit Chantal Ducroux-Schouwey. La loi oblige les établissements à donner des explications aux patients qui mobilise ces commissions. Si une maman, qui s’est vue vertement remettre à sa place, se demande si cela vaut vraiment le coup, Chantal Ducroux-Schouwey lâche: «Vous pouvez mobiliser une commission ne serait-ce parce que le repas était dégueulasse.»

Pour ma part, quand cette assistante puéricultrice m’a pressé le sein avec poigne pour vérifier si j’avais une montée de lait, sans m’avoir consultée, je n’ai pas saisi la commission des usagers. N’empêche que ce jour-là, alors que des proches se trouvaient dans ma chambre, j’étais plus une vache laitière qu’une jeune maman.

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