France

Terrorisme: comment la peur s'insinue-t-elle en nous?

Temps de lecture : 16 min

Etre exposé à des attentats de manière répétée affecte l’être humain en profondeur. Avec des conséquences essentiellement négatives, mais pas aussi quelques réactions qui donnent de l’espoir.

Fear | Stefan Rheone via Flickr CC License by
Fear | Stefan Rheone via Flickr CC License by

Dans une scène du film Brazil, de Terry Gilliam, on voit quatre personnes en train de manger dans un restaurant chic. Ida Lowry est en train d’expliquer devant son amie, Mrs Terrain, et son fils, Sam Lowry, les avantages de la chirurgie plastique... quand soudain, une explosion retentit. Malgré cette attaque terroriste, les convives ne se lèvent pas pour aider les personnes touchées et réagissent à peine, continuant leur repas. Au bout d’un moment, excédée par le désagrément, la mère de Sam demande à son fils, fonctionnaire au Ministère de l'Information:

- «Sam! Peux-tu faire quelque chose contre ces terroristes?»

- «C’est mon heure de déjeuner. Et en plus, ce n’est pas mon ministère», lui répond l’acteur Jonathan Pryce.

Terry Gilliam n’était pas psychologue, mais il avait compris les ravages que peut causer le terrorisme, et l’exposition répétée à la menace. Le risque, démontre cette scène à l’absurde, est de se retrouver insensible et coupé de la réalité. Et de voir ainsi la violence sociale augmenter.

C’est la question qui se pose en France, après une série d’attentats meurtriers. Depuis janvier 2015, la France est soumise au terrorisme, avec un effet d’accélération ces dernières semaines: Magnanville en juin, Nice en juillet, suivi douze jours après de Saint-Etienne-du-Rouvray. Ces attentats ont eu lieu dans un contexte mondial où d’autres pays proches ou alliés, comme l’Allemagne et les Etats-Unis, sont aussi très fortement touchés. En juin, des attaques ont eu lieu aux Etats-Unis à Orlando, Dallas et Fort Myers. Quatre attaques ont eu lieu en Allemagne au mois de juillet. Et des attentats très meurtriers ont également eu lieu en Turquie, en Irak, au Bangladesh, en Afghanistan….

Six mois

Habituellement, les symptômes du stress liés à des événements tragiques disparaissent pour la plupart des individus au bout de six mois, me précise le professeur de psychologie Mooli Lahad auteur d'une étude à paraître sur la population israélienne, et qu'il m'a décrite. La même chose est observée après des catastrophes naturelles: les habitants reviennent sur place généralement six mois plus tard, m'explique l’historien Frédéric Chauvaud. «Les sociologues se sont rendus compte que dans les pays qui ne sont pas en guerre mais qui subissent un attentat, il faut 6 à 8 mois à la population touchée pour se préoccuper d'autre chose», rapportait récemment au Figaro Gérôme Truc, sociologue et auteur de Sidérations. Avec le rythme des attentats depuis un an et demi, la population ne peut donc jamais revenir à un état normal.

Même si un petit nombre de personnes est touché, relativement à l’ensemble de la population française, les attentats peuvent affecter psychologiquement un grand nombre de personnes. «J’ai des patients qui ont un passé tel qu’ils ont une plus grande sensibilité à la violence, et ils sentent une montée de cette violence en ce moment», confie Muriel Salmona, psychiatre, formatrice en psychotraumatologie et présidente de l’association Mémoire traumatique et victimologie. Alors que seulement 1,5% des Israéliens étaient directement impliqués dans la dernière vague de violence israélo-palestinienne, qui a débuté à l’automne 2015, près de 30% ont manifesté des effets psychologiques, selon l’étude de Mooli Lahad.

Une bombe dans le ciel de Surda, en Palestine. ABBAS MOMANI / AFP

Une épuisante inquiétude

Quels sont les effets psychologiques de cette pression continue? Il faut d’abord préciser une chose: il ne s’agit pas là de peur au sens strict. Pour les scientifiques, la peur est une réaction physiologique créée par le contact direct avec un danger, imaginaire ou réel. Elle se traduit par une augmentation du rythme cardiaque et des traits caractéristiques sur le visage. «Les gens ressentent plutôt des affects négatifs, comme de la tristesse, etc. Mais ils n’ont pas vraiment peur», m'explique Thomas Arciszewski, chercheur en psychologie sociale, qui a réalisé une thèse sur les menaces issues de l’actualité.

Cet état d’hypervigilance, et dépensé en pures pertes, produit une fatigue conséquente

La peur, lorsque l’on est confronté à un danger immédiat, a une certaine utilité. «Elle permet de s’adapter au danger s’il y a une menace concrète que la personne peut éviter», explique James W. Pennebaker, professeur de psychologie à l’université du Texas à Austin, qui a travaillé sur les conséquences des attentats du 111 Septembre 2001 sur la population américaine. «Le problème est que la probabilité d’être touché par le terrorisme est très, très faible. Il y a beaucoup plus de gens blessés ou tués dans des accidents ou des chutes», ajoute James W. Pennebaker. Cet état d’hypervigilance, et dépensé en pures pertes, produit une fatigue conséquente, expliquent plusieurs psychologues que j'ai contactés. Un sentiment de menace permanente susceptible d’affecter le sommeil et de causer des troubles psychologiques. Des chercheurs israéliens ont constaté par exemple que les personnes qui empruntent le bus en Israel et scrutent les passagers avant de monter étaient bien plus susceptibles de présenter des signes d’anxiété que les autres passagers.

De nombreuses personnes vont aussi présenter des signes que l’on pourrait qualifier de légère paranoïa collective. C’est dans ces moments-là que se produit une sorte d’inflation interprétative, parfois légèrement délirante, ou tout simplement fausse. Après le 11-Septembre, les Etats-Unis connurent une série d’attaques à l'aide d'enveloppes contaminées au bacille du charbon, ou «anthrax» en anglais. Le FBI conclut qu’un chercheur américain, Bruce Ivins, était entièrement responsable de ces attaques. Mais de nombreux Américains restèrent persuadés après ces révélations que ces évènements étaient liés au 11-Septembre, selon une étude du professeur James W. Pennebaker. Ces réactions peuvent éclairer certains comportements récents observés en France ou en Allemagne d’internautes prompts à attribuer la fusillade de Munich au terrorisme islamique. «Tout ce qui arrive aujourd’hui en France aura des chances d’être attribué au terrorisme, même si cet accident ou ces actions n’ont aucun lien avec le terrorisme en aucune manière», observe James W. Pennebaker.

L'aéroport international de Washington-Dulles, désert le 11 septembre 2001. JOSHUA ROBERTS / AFP

Se sentir en état de siège

Une telle angoisse qui saisit la population peut mener à des scènes de panique, comme à la fin du XIXè siècle, alors que la population venait de subir de longs mois d’attentats anarchistes. De 1891 à 1894, l’ouvrier et militant anarchiste Ravachol, puis ses épigones Auguste Vaillant et Sante Geronimo Caserio, ont terrorisé la population. Après un attentat au restaurant Véry, qui fit deux morts, des mouvements de foule subis et incontrôlés éclatèrent au cours de manifestations, note l’historien Frédéric Chauvaud. Des réactions similaires ont été observées deux jours après les attentats de novembre, dans trois quartiers de Paris, place de la République, dans le marais et vers Stalingrad.

Les attaques terroristes créent "un emballement du système représentationnel, et une désorganisation cognitivo-émotionnelle"

Pierre Mannoni

Les attaques terroristes créent «un emballement du système représentationnel, et une désorganisation cognitivo-émotionnelle», explique Pierre Mannoni, psychologue et philosophe auteur du livre Le terrorisme, une arme psychologique, et qui étudie la question des conséquences psychologiques du terrorisme depuis trente ans. «Une collègue m’a dit que des gens s’étaient déplacés pour ne pas être à côté d’un barbu», observe-t-il. Des scènes typiques selon lui d’une «névrose obsidionale», qui équivaut à ce que l’on ressent lorsque l’on est en état de siège.

Fight, freeze, flight

Pour autant, il n’y a évidemment pas de réaction unique face au terrorisme. «On ne s’habitue pas à un climat de peur, on s’y adapte. (...) Certaines personnes vont avoir un éveil émotionnel intense. Elles prennent toutes les informations liées aux émotions. D’autres coupent court à l’émotion, ils choisissent le défi. Ce sont des gens plutôt rationnels, qui ont une certaine forme de sang-froid. Ils prennent l’information de type factuel, et veulent des briques pour comprendre», explique Thomas Arciszewski.

Les psychologues relèvent trois grandes réactions face à la peur, qui correspondent à trois «solutions», trois façons de faire avec la menace: le «fight, freeze, flight». Combattre, être tétanisé, ou s’enfuir. «Les êtres humains, comme tous les animaux, recherchent l’homéostasie [un état d’équilibre pour un milieu donné, par exemple environ 37° pour la température du corps]. Ils préservent cet état soit en attaquant l’élément intrusif, soit en l’ignorant, soit en recherchant un nouvel état homeostatique», explique Mooli Lahad.

Certaines personnes, me fait remarquer Muriel Salmona, vont se retrouver bloquées, comme si elles étaient au milieu d’un champ de mines. Elles évitent de sortir, ne supportent pas de se retrouver dans des endroits clos, et développent des troubles obsessionnels, par exemple fermer plusieurs fois la porte. Ces cas extrêmes se retrouvent chez les personnes qui ont vécu un attentat ou les proches de victimes mais existent aussi, à un degré moins élevé, chez des personnes simplement exposées aux actualités. Celles-ci vont alors fermer radio, télévision et couper toutes les sources d’information pour se protéger de ce qui est perçu comme une agression. Pierre Mannoni parle quant à lui de «sidération-inhibition».

Quelques semaines après le séisme du 17 octobre 1989, dans la baie de San Francisco, des gens se sont mis à porter des t-shirts avec cette injonction «Merci de bien vouloir arrêter de parler du tremblement de terre».

Il existe une autre forme d’attitude, plus dévastatrice encore: celle qui consiste à penser que «tout va bien», et que «cela n’est pas si grave». Un déni en somme. Il conduit à une dissociation de la personne avec la réalité, une forme d’anesthésie. Les individus dissociés sont déconnectés de leurs émotions. Le niveau d’empathie avec leurs proches diminue.

«Les gens en Israël sont très durs et souvent peu empathiques. Plus les gens sont exposés à des violences plus ils sont froids. Ne rien ressentir peut être nécessaire pour survivre, au moment où l’on a une balle dans la jambe et où l’on ne sent plus rien, mais ce n’est pas bon sinon», analyse Muriel Salmona.

«L’habitude» du terrorisme peut alors devenir très dangereuse, ajoute la psychiatre:

«Ce n’est pas avec l’habitude qu’on module ses émotions, c’est avec l’expérience, la compréhension. Sinon on se retrouve dans une situation où on n’en a plus rien à faire de l’autre. On a pu s’habituer au nazisme, on pourrait s’habituer à l’Etat islamique, mais ce n’est pas une bonne chose. Si l’Etat islamique a pu s’installer en Syrie, c’est parce que les gens étaient déjà habitués à la guerre.»

Une famille de réfugiés syriens le 22 juin 2015. UYGAR ONDER SIMSEK / AFP

Violences, drogue et alcool

La psychiatre me raconte le cas d’un couple, dont l’un des deux, un homme, a été victime d'un attentat terroriste de grande ampleur. Il refusait de recevoir une aide psychologique et prétendait que tout allait bien. Dans le même temps, il s’est mis à boire. Une bouteille de whishy par jour. Et à devenir violent. Pendant ce temps, sa compagne se sentait très stressée. Ces évènements violents avaient réactivé en elle des violences sexuelles qu’elle avait vécues. Son conjoint se trouvait supérieur à elle, et pensait «mieux vivre» les choses. «En fait, c’était elle qui était courageuse, et qui affrontait réellement ses peurs», juge Muriel Salmona.

Ces «conduites dissociatives» ont des répercussions très graves, se traduisant par des violences conjugales, une consommation d’alcool et de drogue plus forte, une augmentation des maladies cardio-vasculaires… Selon une étude menée par les psychologues Joseph Boscarino, Richard Adams et Sandro Galea dans les mois qui suivirent les attentats contre le World Trade Center, environ 10% des New-Yorkais étudiés avaient augmenté les doses d’alcool consommées. La consommation de cigarettes et de drogue était également en augmentation. «Ils se saoulent de risque pour s’anesthésier», résume Muriel Salmona. Un même phénomène a été constaté dans les semaines qui ont suivi le tremblement de terre de 1989, après une première phase de discussions intenses sur le sujet. Les Californiens se turent, cessèrent de lire de manière compulsive les informations, mais les violences familiales et la consommation d’alcool augmentèrent.

«On ne peut pas prendre ces évènements toujours de plein fouet. On a besoin de fermer les vannes, à un moment donné», estime Thomas Arciszewski. «Le déni est indispensable pour qu’on puisse vivre», complète Gérard Lopez, psychiatre et fondateur de l'Institut de Victimologie à Paris. A un certain degré.

Boucs émissaires

Cette violence psychologique que subissent les individus peut s’accompagner d’une violence sociale, entre groupes, qui peut avoir des effets dramatiques, particulièrement si la menace terroriste est associée à une groupe précis, comme avec le terrorisme islamiste. Ce terrorisme est très vite– et, faut-il le rappeler, faussement– associé aux «musulmans» en général. «Si deux personnes de même nationalité sont accusées de terrorisme, les gens vont automatiquement devenir suspicieux à l’égard de toutes les personnes de cette nationalité. Il n’y a aucune rationalité à cela, et pourtant, les humains ne peuvent pas s’en empêcher», estime James W. Pennebaker. Au fur et à mesure, le groupe ciblé est déshumanisé. «La peur finit par se transformer en colère, qui favorise les discriminations», estime Sylvain Delouvée, maître de conférences en psychologie sociale à l'Université Rennes 2, qui a coordonné l’ouvrage Les peurs collectives, paru en 2013.

La peur tend à couper les circuits du raisonnement logique et de l’intelligence, engendrant racisme et xénophobie. C’est la logique du «bouc émissaire», décrite par le philosophe et anthropologue René Girard: pour résoudre une crise, le corps social a besoin d’une victime expiatoire. Homosexuels, arabes, juifs... les minorités sont particulièrement ciblées, pour permettre au groupe majoritaire de canaliser la crise. Jusqu’à la prochaine crise.

«Nos études montrent que le sentiment de menace, peu importe le type, est associé à l'augmentation du niveau de préjugés à l'égard des immigrés et des Français d'origine étrangère, en particulier ceux qui sont perçus comme différents des Français du point de vue culturel et économique. Ceux qui proviennent des pays de religion majoritairement musulmane sont aussi ceux qui font le plus l’objet de discrimination dans notre pays», résume Constantina Badea, maître de conférences en psychologie sociale à l’université Paris Ouest Nanterre La Défense.

Délitement du corps social

Les individus vont avoir tendance à se replier sur leurs amis, famille, voire sur eux-mêmes, dans une logique de priorité qui laisse de côté la solidarité avec le voisin que l’on connaît moins, l’inconnu de la rue. «Une exposition longue à une situation de menace aboutit à terme à un délitement du lien social», estime Pierre Mannoni, qui a observé les germes d’un tel délitement au cours d’expériences en laboratoire.

Prenez un groupe d’individus auxquels vous faites croire, en les branchant à des machines, qu’ils peuvent recevoir des chocs électriques. Une pédale leur permet d’empêcher ces chocs de se produire, tout en augmentant, si elle est utilisée, le risque pour les autres de recevoir de tels chocs. Il est précisé aux individus qu’aucun de leurs camarades cobayes ne sera mis au courant de leur choix. Autrement dit, on ne révélera pas si untel a appuyé ou non sur la pédale. L’expérience se déroule dans un cadre institutionnel finalement très rassurant, où l’on peut supposer que les individus, si tant est qu’ils croient à la possibilité de recevoir de tels chocs, se doutent bien que ces chocs ne vont pas leur faire beaucoup de mal.

Combien d’individus ont-ils appuyé sur la pédale, à votre avis? «65%» explique Pierre Mannoni, qui a réalisé l’expérience. Un chiffre très élevé, qui montre à quel point l’être humain est finalement peu enclin à se sacrifier pour son prochain. «En cas de menace, c’est moi d’abord», résume le chercheur.

La violence engendre la violence, qui se transmet même par les gènes, comme l’ont montré des travaux de la chercheuse Rachel Yehuda. Les gènes d’une trentaine de personnes, qui ont toutes été enfermées dans des camps de concentration, ont été témoins ou victimes de torture, ou ont dû fuir pendant la Seconde Guerre mondiale, étaient tous atteints de stress et de troubles anxieux, ainsi que ceux de leurs enfants. «Les modifications génétiques observées sur les enfants de survivants ne peuvent être attribuées qu'à l'exposition à l'holocauste de leurs parents», concluent les chercheurs.

Lien social

Pour autant, face à la menace, certaines personnes réagissent mieux que d’autres. «L’être humain est l’animal le plus flexible au monde», juge Mooli Lahad. Les raisons qui leur permettent de mieux gérer la crise ne sont pas toujours celles auxquelles on aimerait croire. Une forte idéologie nationaliste permettrait de développer moins de troubles, montrent des études réalisées en terrain israélien. Les personnalités égocentriques sont également moins exposées à ces troubles, explique Gérard Lopez.

Mais les crises et la terreur peuvent aussi être transformées par des individus en formidables moments de solidarité. Ces individus, qui vont alors développer des liens sociaux, seront aussi en général moins exposés à des troubles psychiques. C’est ainsi qu’on a vu, à chaque attentat, des individus ouvrir spontanément leurs portes, dans la rue ou sur les réseaux sociaux, avec le hashtag #PorteOuverte. C’est ainsi que la France a connu un grand mouvement de résistance face au nazisme, sous la seconde guerre mondiale. Et un grand moment de solidarité en janvier, après les attentats contre l’hypercasher et Charlie Hebdo.

«Si on ne se dissocie pas, on va donner plus de valeur à l’amour, aux liens, aux autres», analyse Muriel Salmona. «Presque tous mes patients, quand ils sortent de leur état dissociatif, s’engagent, et deviennent des gens formidables. C’est grâce à leurs émotions fortes», explique la psychiatre, qui s’insurge contre l’idée qu’il faudrait «laisser les émotions de côté» et que celles-ci seraient nuisibles.

Pour ne pas «dissocier», il faut verbaliser, préconisent les experts que nous avons interrogés. Réfléchir, discuter, échanger, partager. Ne pas se faire absorber complètement par l’émotion, tout en réussissant à ne pas s’habituer, c’est-à-dire à ne pas banaliser le terrorisme. Pour ne pas se transformer en Sam Lowry.

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