En visite officielle à Washington, le Premier ministre canadien Justin Trudeau a annoncé avec Barack Obama que leurs deux pays s'engageaient à une réduction des émissions de méthane du secteur pétrolier et gazier de 45% d'ici 2025.
Ils ont aussi evoqué des projets environnementaux de protection de l'Arctique, mais les journalistes se sont intéressés à autre chose: le charme des deux chefs d'Etat. Le mot «hot», soit sexy, a été souvent répété.
La journaliste canadienne Robyn Urback, songeuse:
«Comme j'aimerais que quelqu'un me regarde comme Trudeau regarde Obama.»
I just wish someone would look at me the way Trudeau looks at Obama... pic.twitter.com/R4VqgDrmb9
— Robyn Urback (@RobynUrback) March 10, 2016
Sur Jezebel, Joanna Rothkopf écrit qu'elle aimerait bien être ce bébé qu'Obama et Trudeau prennent dans leur bras.
Today, Barack Obama and Justin Trudeau hung out with a baby https://t.co/BVhIvODNhs pic.twitter.com/fo19HLlqfQ
— Jezebel (@Jezebel) March 10, 2016
Aujourd'hui, Barack Obama et Justin Trudeau ont passé du temps avec un bébé.
Blagues et regards complices
Comme le rappelle le New York Times, Trudeau a l'air de très bien savoir comment se faire aimer sur internet. Quelques jours avant son arrivée à Washington, il avait tweeté une photo de lui avec deux bébés pandas:
Today I had the pleasure to unveil the names of @TheTorontoZoo’s panda cubs! Say hello to Jia Panpan & Jia Yueyue: pic.twitter.com/iFCAlID7bc
— Justin Trudeau (@JustinTrudeau) March 7, 2016
Aujourd'hui, j'ai eu le plaisir de dévoiler les noms des deux bébés pandas du zoo de Toronto! Dites bonjour à Jia Panpan et Jia Yueyue.
Pendant leur discours, les deux chefs d'État ont eu des petits regards complices et ont fait des blagues sur le hockey sur glace et sur les Américains qui menacent de partir au Canada si le candidat républicain est élu en novembre.
Pour décrire l'interaction entre les deux hommes, le Washington Post a parlé de «bromance», une contraction de «bro» (mec) et «romance», soit une amitié très proche entre deux hommes.
Assez vite, les blagues sur Twitter ont dégénéré:
«Je...je ne peux pas. Michelle sera au courant.
Personne ne le saura, Barry. Personne.»
"I...I can't. Michelle will know."
— Ryan Carey-Mahoney (@thegoodcarmah) March 10, 2016
"No one has to know, Barry. No one." pic.twitter.com/yf1xd8Xq62