À l'ONU, les enquêtes pour agressions sexuelles meurent en silence
Des rapports confidentiels révèlent l'incompétence de l'organisation en matière de violences et d'inconduites sexuelles et la culture de l’immunité qu'elle peut générer.
À l'ONU, les enquêtes pour agressions sexuelles meurent en silence
Des rapports confidentiels révèlent l'incompétence de l'organisation en matière de violences et d'inconduites sexuelles et la culture de l’immunité qu'elle peut générer.
Au Congo, pas facile d'arrêter un violeur présumé et ses 67 complices
Depuis trois ans, le gouvernement ne faisait rien pour arrêter un puissant politicien suspecté d'organiser les viols collectifs de 50 petites filles –jusqu'à ce qu'une journaliste s'en mêle.
Au Congo, on offre des voitures aux joueurs de foot mais jamais rien aux victimes de viol
Dix ans après le verdict qui lui ordonnait de dédommager les victimes d'un viol de masse, le gouvernement congolais ne leur a toujours pas versé un centime.
Migrations politiques et climatiques, le «cocktail toxique» qui empoisonne toute la planète
Le nombre de personnes contraintes de fuir leur foyer ne cesse d'augmenter. Beaucoup se retrouvent alors dans des conditions très précaires, à la merci de climats hostiles, comme au Sud-Soudan. Un cercle vicieux difficile à enrayer.
L'ONU ne prend pas les accusations de viols commis par des Casques bleus au sérieux
Même si les crimes en Centrafrique font l'objet d'enquêtes, l'impunité y est toujours de mise.
État islamique: l’horreur continue pour les rescapés
Des psychologues en Irak, pays depuis longtemps frappé par la violence, disent qu’ils n’ont jamais vu pire traumatisme que celui causé par l’État islamique.
A Kavumu, petite ville du Congo, des dizaines de petites filles se font violer
Les sévices qu'elles subissent sont affreux. Sur place, on spécule sur les explications à donner à ces drames. Et si c'était la sorcellerie? Ou, plus prosaïquement mais tout aussi tragiquement, si les coupables étaient d'anciens soldats, détruits, des victimes devenues bourreaux.
Ce que l'Inde ne veut pas voir des viols
L'Inde a interdit la diffusion d'un documentaire sur le viol collectif dont avait été victime Jyoti Singh et qui lui avait coûté la vie en 2012. Prétendûment parce que certaines images pourraient encourager les violences faites aux femmes. Or ce film dévoile les racines de la violence en Inde en exposant le fossé qui sépare les pauvres des classes moyennes.
En théorie, tarir le commerce des «minerais du conflit» était censé protéger les habitants d'une des régions les plus fragiles d'Afrique. En pratique, c'est à peu près tout l'inverse.
Pas seulement du mauvais journalisme, mais aussi une occasion manquée.
Les réfugiés fuyant la Syrie sont de moins en moins nombreux, et c'est une mauvaise nouvelle
Si ces chiffres baissent, ce n'est pas parce que moins de personnes cherchent à quitter le pays. Au contraire.
Pourquoi y a-t-il plus de femmes que d'hommes qui meurent d'Ebola?
Selon plusieurs études, un grand nombre de maladies infectieuses ne touchent pas hommes et femmes à égalité. Mais ces données ne sont pas mises en pratique.
S'indigner, retweeter, oublier
De la Syrie à Gaza, en passant par #BringBackOurGirls, comment peut-on s'enflammer pour un sujet et le laisser tomber la minute d'après?
Il existe une crise sanitaire majeure en Syrie que personne ne voit: la santé mentale
Du syndrome de stress post-traumatique à la dépression, la guerre en Syrie est en train de générer une crise sanitaire majeure sur le plan des troubles mentaux –et le pays ne dispose ni des médecins ni des moyens financiers nécessaires pour endiguer ses ravages.
Pourquoi la CPI, condamnant les pires crimes du monde, néglige-t-elle les survivantes de viol?
Le 7 mars, Germain Katanga a été condamné pour crime contre l'humanité et crimes de guerre commis en RDC. Mais pas pour viols.
Au Congo, la guerre permanente est celle que les hommes mènent contre les femmes en les violant
Il ne s'agit pas ici de parler du viol comme «arme de guerre». Au Congo, la violence contre les femmes est endémique. L'idée que la violence sexuelle serait acceptable, prévisible, est ancrée dans la psyché nationale.