Depuis l'élection présidentielle, le journaliste a transformé sa maison en bunker, tandis qu'une pétition réclamant son exil et des menaces de mort à son encontre pleuvent sur les réseaux sociaux.
Partout, des voix s'élèvent pour le dénoncer. Mais en Amérique latine, au Brésil en particulier, ce nouveau consensus pourrait se révéler paradoxalement un moindre mal.