Une semaine dans le monde en 7 photos, du 6 au 12 mai 2023
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Une semaine dans le monde en 7 photos, du 6 au 12 mai 2023

Inondations et glissements de terrain en République démocratique du Congo, couronnement du roi Charles III à Londres, mort d'un vidéojournaliste français en Ukraine… La semaine du 6 au 12 mai en images.

Le roi Charles III quitte l'abbaye de Westminster après la cérémonie de son couronnement, dans le centre de Londres, le 6 mai. Charles sera le 40e monarque régnant à être couronné à l'église centrale de Londres depuis le roi Guillaume Ier en 1066. En dehors du Royaume-Uni, il est également roi de quatorze pays du Commonwealth, dont l'Australie, le Canada et la Nouvelle-Zélande. En parallèle aux cérémonies, six membres du groupe Republic, dont son leader, Graham Smith, ont été arrêtés alors qu'ils se rendaient à Trafalgar Square pour manifester au passage du roi. La police londonienne a déclaré, lundi 8 mai au soir, «regretter» leur arrestation. 
Paul Ellis / AFP

Le roi Charles III quitte l'abbaye de Westminster après la cérémonie de son couronnement, dans le centre de Londres, le 6 mai. Charles sera le 40e monarque régnant à être couronné à l'église centrale de Londres depuis le roi Guillaume Ier en 1066. En dehors du Royaume-Uni, il est également roi de quatorze pays du Commonwealth, dont l'Australie, le Canada et la Nouvelle-Zélande. En parallèle aux cérémonies, six membres du groupe Republic, dont son leader, Graham Smith, ont été arrêtés alors qu'ils se rendaient à Trafalgar Square pour manifester au passage du roi. La police londonienne a déclaré, lundi 8 mai au soir, «regretter» leur arrestation

Une femme marche à travers les débris d'un bâtiment qui a été incendié et vandalisé par des foules dans le village de Khumujamba, à la périphérie de Churachandpur, le 9 mai. Le petit État de Manipur au nord-est du pays, à la frontière birmane, qui compte 3,5 millions d'habitants est en proie, depuis le 3 mai, à des affrontements interethniques meurtriers. Selon le gouvernement local, 1.700 maisons ont été incendiées ainsi que des temples, des églises et des véhicules, soixante personnes ont péri et plus de 35.000 auraient été déplacées et accueillies dans des camps de secours. Des milliers de soldats ont été déployés et un couvre-feu a été décrété. 
Arun Sankar / AFP

Une femme marche à travers les débris d'un bâtiment qui a été incendié et vandalisé par des foules dans le village de Khumujamba, à la périphérie de Churachandpur, le 9 mai. Le petit État de Manipur au nord-est du pays, à la frontière birmane, qui compte 3,5 millions d'habitants est en proie, depuis le 3 mai, à des affrontements interethniques meurtriers. Selon le gouvernement local, 1.700 maisons ont été incendiées ainsi que des temples, des églises et des véhicules, soixante personnes ont péri et plus de 35.000 auraient été déplacées et accueillies dans des camps de secours. Des milliers de soldats ont été déployés et un couvre-feu a été décrété. 

Des gens se tiennent devant une pile de cercueils apportés par le gouvernement central, à Nyamukubi, dans l'est de la République démocratique du Congo, le 9 mai. Des inondations et des glissements de terrain déclenchés par de fortes pluies ont tué au moins 400 personnes dans des villages du territoire de Kalehe, dans la province du Sud-Kivu. Le président de la société civile de Kalehe craint que le bilan ne s'alourdisse puisque «5.255 personnes manquent encore à l'appel», rapporte Le Monde.
Guerchom Ndebo / AFP

Des gens se tiennent devant une pile de cercueils apportés par le gouvernement central, à Nyamukubi, dans l'est de la République démocratique du Congo, le 9 mai. Des inondations et des glissements de terrain déclenchés par de fortes pluies ont tué au moins 400 personnes dans des villages du territoire de Kalehe, dans la province du Sud-Kivu. Le président de la société civile de Kalehe craint que le bilan ne s'alourdisse puisque «5.255 personnes manquent encore à l'appel», rapporte Le Monde.

Des photographies du vidéojournaliste de l'AFP Arman Soldin ont été disposées en hommage dans l'église Sainte-Bride, dans le centre de Londres, le 10 mai. Le coordinateur vidéo de l'AFP en Ukraine, âgé de 32 ans, faisait partie d'une équipe de cinq reporters de l'AFP qui accompagnaient des soldats ukrainiens sur le front le plus actif de la guerre, visé quotidiennement par les forces russes. Il a été tué sur le terrain le 9 mai par un tir de roquette près de Tchassiv Iar, dans l'est de l'Ukraine. La mort de ce journaliste porte à onze le nombre de personnes tuées en couvrant le conflit.
Justin Tallis / AFP

Des photographies du vidéojournaliste de l'AFP Arman Soldin ont été disposées en hommage dans l'église Sainte-Bride, dans le centre de Londres, le 10 mai. Le coordinateur vidéo de l'AFP en Ukraine, âgé de 32 ans, faisait partie d'une équipe de cinq reporters de l'AFP qui accompagnaient des soldats ukrainiens sur le front le plus actif de la guerre, visé quotidiennement par les forces russes. Il a été tué sur le terrain le 9 mai par un tir de roquette près de Tchassiv Iar, dans l'est de l'Ukraine. La mort de ce journaliste porte à onze le nombre de personnes tuées en couvrant le conflit.

Des migrants tentent de se rendre aux États-Unis depuis le Mexique par le Río Grande, qui est renforcé par une clôture de barbelés, le 10 mai. Un afflux de migrants est attendu aux villes frontalières des États-Unis alors que l'administration du président Biden met officiellement fin à l'utilisation du «titre 42», un protocole strict réactivé par l'ancien président Donald Trump pour refuser l'entrée aux migrants et expulser les demandeurs d'asile au nom de la lutte contre le Covid.
Alfredo Estrella / AFP

Des migrants tentent de se rendre aux États-Unis depuis le Mexique par le Río Grande, qui est renforcé par une clôture de barbelés, le 10 mai. Un afflux de migrants est attendu aux villes frontalières des États-Unis alors que l'administration du président Biden met officiellement fin à l'utilisation du «titre 42», un protocole strict réactivé par l'ancien président Donald Trump pour refuser l'entrée aux migrants et expulser les demandeurs d'asile au nom de la lutte contre le Covid.

Des militants du parti pakistanais Tehreek-e-Insaf (PTI) et partisans de l'ancien Premier ministre Imran Khan célèbrent la décision de la Cour suprême, la plus haute juridiction du pays, qui a déclaré l'arrestation d'Imran Khan «invalide», à Lahore, le 11 mai. Deux jours après qu'il a été interpellé de façon spectaculaire dans l'enceinte de la Haute Cour d'Islamabad pour des allégations de corruption, la Cour suprême a qualifié l'arrestation de l'ex-Premier ministre d'«invalide» et «illégale». Le gouvernement conteste cette décision.
Arif Ali / AFP

Des militants du parti pakistanais Tehreek-e-Insaf (PTI) et partisans de l'ancien Premier ministre Imran Khan célèbrent la décision de la Cour suprême, la plus haute juridiction du pays, qui a déclaré l'arrestation d'Imran Khan «invalide», à Lahore, le 11 mai. Deux jours après qu'il a été interpellé de façon spectaculaire dans l'enceinte de la Haute Cour d'Islamabad pour des allégations de corruption, la Cour suprême a qualifié l'arrestation de l'ex-Premier ministre d'«invalide» et «illégale». Le gouvernement conteste cette décision.

Des personnes portent secours à une femme assise au milieu des décombres d'un bâtiment touché lors d'une frappe aérienne israélienne à Beit Hanoun, dans le nord de la bande de Gaza, le 12 mai. Mardi 9 mai, l'État hébreu a assassiné trois commandants du jihad islamique palestinien à Gaza, une bande de sable sous blocus depuis 2007. D'autres attaques aériennes menées jeudi soir ont fait vingt-neuf morts, dont au moins dix civils, des parents et des voisins des trois chefs palestiniens. En représailles, des centaines de roquettes ont été lancées depuis Gaza vers Israël, tuant un homme et blessant plusieurs personnes.
Mohammed Abed / AFP

Des personnes portent secours à une femme assise au milieu des décombres d'un bâtiment touché lors d'une frappe aérienne israélienne à Beit Hanoun, dans le nord de la bande de Gaza, le 12 mai. Mardi 9 mai, l'État hébreu a assassiné trois commandants du jihad islamique palestinien à Gaza, une bande de sable sous blocus depuis 2007. D'autres attaques aériennes menées jeudi soir ont fait vingt-neuf morts, dont au moins dix civils, des parents et des voisins des trois chefs palestiniens. En représailles, des centaines de roquettes ont été lancées depuis Gaza vers Israël, tuant un homme et blessant plusieurs personnes.

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