1. Sarkozy, le président «Bionic» mais heureux
Le désormais fameux «off» de Guyane, ces confidences faites par le président de la République à 14 journalistes lors de son voyage du 21 janvier, continue d’alimenter les articles de presse. Après Libération et l’AFP, c’est Le Monde qui publie un long article en se fondant sur les propos de Nicolas Sarkozy. Il dit notamment des premiers mois de son mandat: «Quand ils m'ont vu heureux, les Français se sont dit: “Il nous abandonne. On a élu Bionic et il est heureux”.»
2. Jacques Chirac arbitre du débat Juppé-Hollande
Rue89 s’est amusé à imaginer les commentaires qu’auraient pu faire Jacques Chirac en regardant le débat entre Alain Juppé, son ancien protégé, et son ancien rival en Corrèze François Hollande. Il y conseille notamment au premier de plus sourire, et voit en l’autre «l’étoffe d’un chef d’Etat».
3. La reconversion de Sarkozy
Les Inrocks se sont également prêté à un exercice d’imagination: le président de la République ayant annoncé qu’il se retirerait de la vie politique s’il n’était pas réélu, le journal s’est amusé à imaginer 10 reconversions possibles, de président de l’Union européenne à consultant chez Bouygues en passant par jardinier.
4. Grosse colère d’Henri Guaino
Interpellé par le journaliste Joseph Macé-Scaron sur i-Tele, qui qualifiait le débat sur l’identité nationale d’«indigne», Henri Guaino, le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy s’est emporté contre le journaliste («vous avez fait quoi dans votre vie pour me dire que je suis indigne?»), et plus largement les observateurs qui «transforment le débat politique en guerre civile» et qui ont «insulté» Nicolas Sarkozy du début à la fin de son mandat.
5. Thierry Roland a voté Mitterrand en 1981
Enfin le Parisien propose une courte interview politique du commentateur sportif Thierry Roland, qui déclare qu’il votera pour Nicolas Sarkozy «sauf énorme boulette» et qui se confie sur son passé d’électeur: il a toujours voté pour les gaullistes, sauf en 1981 où il a voté Mitterrand pour se venger de son licenciement de l’ORTF en 1968.
Photo: Jacques Chirac, le 5 novembre 2010. REUTERS/Gonzalo Fuentes