Sans elle, Istanbul serait peut-être toujours aux mains d'Erdoğan
Canan Kaftancıoğlu, 47 ans, comparaît ce 18 juillet pour avoir critiqué le président turc sur les réseaux sociaux. Elle pourrait écoper d'une peine de dix-sept ans d'emprisonnement.
Sans elle, Istanbul serait peut-être toujours aux mains d'Erdoğan
Canan Kaftancıoğlu, 47 ans, comparaît ce 18 juillet pour avoir critiqué le président turc sur les réseaux sociaux. Elle pourrait écoper d'une peine de dix-sept ans d'emprisonnement.
Meral Akşener, une «louve» nationaliste face à Erdoğan
La candidature à la présidentielle du 24 juin de Meral Akşener affaiblit l'alliance d'Erdoğan avec le parti d'extrême droite MHP, clé pour qu'il obtienne la majorité parlementaire.
Le PKK, outsider des élections turques
Le Parti des travailleurs du Kurdistan est un acteur-clé des élections turques même s’il est interdit. Pour le comprendre, encore faut-il savoir ce qu’il se cache derrière les lettres PKK.
Les Turcs sont assis sur un baril d’explosifs
En Turquie, après les élections législatives, tout le monde pense à un scénario catastrophe: un retour de la «sale guerre».
Il ne fallait donc pas désespérer de la démocratie turque
En refusant d’accorder au parti islamo-conservateur qu’est l’AKP la majorité absolue au Parlement, les électeurs donnent une leçon de vigueur démocratique à notre vieille Europe.
Le Général qui a fomenté le coup d'Etat militaire en 1980 et qui est resté au pouvoir jusqu'en 1989 est mort le 9 mai. Il a eu droit à des funérailles militaires le 12 mai, à Ankara.
L’opposition citoyenne des geeks: et si c’était ça le (nouveau) modèle turc?
Très engagé dans les manifestations qui débutaient il y a un an à Istanbul et toujours mobilisé, un groupe de jeunes activistes numériques vient d'inventer un site pour contrôler, via les réseaux sociaux, la sincérité des résultats électoraux.
Le problème de la Turquie, ce n'est pas Erdogan, c'est l'absence d'une alternative à Erdogan
Dans un contexte où n’existe ni droite ni gauche, l’opposition a été successivement incarnée par l’armée, par l’Union européenne et par le mouvement Gülen. Et il est logique que le parti au pouvoir devienne un parti autoritaire.