Le capitalisme «prédateur», catalyseur de l’extrémisme politique et religieux
Les mauvais politiques économiques, les crises successives, les réformes néolibérales et le capitalisme « prédateur » sont, au moins en partie, à l’origine de la montée de l’extrême gauche en Grèce et des mouvances radicales au Moyen-Orient.