Boire & manger

«Top Chef» saison 11, épisode 6: le récap en GIF, en acceng du Sud et en quarantaine

Temps de lecture : 13 min

Cette semaine, des larmes, du jus de viande et des ronds carrés.

Petit ange parti trop tôt. | Capture d'écran via M6
Petit ange parti trop tôt. | Capture d'écran via M6

Après des semaines d'épreuves à base d'abats, d'arêtes et de moisissure, «Top Chef», qui a compris qu'on était à bout de nerfs et qu'on avait besoin de répit, nous offre enfin une émission 100% gourmande, avec une première épreuve de desserts et une autre avec une pièce de bœuf exceptionnelle. On est conquises.

Mais cet épisode restera à jamais celui du déchirement. Du deuil. Du désespoir. Un épisode au dénouement tragique dont on n'avait VRAIMENT PAS BESOIN cette semaine.

On veut bien entendu parler de l'élimination de Justine, notre chouchoute depuis le début. Celle qui avait mis un peu de chaleur et de bonne humeur dans cette période sombre et maussade. Celle qui confondait les navets et les radis. Celle qui aimait bien le barbecue. Celle qui pouvait désarmer tout le monde avec un simple sourire. Justine, on veut pas que tu partes!!!

On est présentement comme Michel.

Première épreuve

Pour la première épreuve, les candidat·es seront jugé·es par Michael Bartocetti, le chef pâtissier du George V à Paris, qui a l'air très gentil et très poli. Il a dû lire les guides de bonne conduite de Nadine de Rothschild, parce que quand il entre sur le plateau, il lance un très respectueux «messieurs-dames, bonjour».

En tout cas, la première chose qu'on fera à la fin du confinement, c'est aller au George V pour goûter son dessert aux pommes, qui a l'air orgasmique.

Est-ce qu'il a des astuces pour faire un dessert à rien? Parce que c'est un peu notre dilemme, en ce moment.

L'objectif de l'épreuve: créer des desserts sans sucre ajouté. «Top Chef», c'est un peu comme les mesures du gouvernement: chaque semaine, on nous enlève un nouveau truc. Cette fois-ci, on nous sucre donc le sucre. Ça tombe bien, parce qu'on a constaté que les rayons pâtisserie des supermarchés avaient été dévalisés. Cette épreuve tombe à pic.

Pour rajouter un peu de tension, on nous annonce que l'un des desserts sera éliminé d'emblée sur le visuel, n'ayant ainsi même pas droit à une dégustation.

On commence par la brigade de Paul Pairet, où Justine et Adrien sont en équipe. Comme d'hab', Paul ne tarit pas d'éloges sur Adrien et semble racler les fonds de tiroirs à la recherche d'un truc sympa à dire sur Justine. Il ne la mérite pas.

Le duo part sur une «carotte coco-colada», un dessert «un peu funky» selon Adrien (et au nom imprononçable), inspiré de la piña colada mais avec de la carotte en plus. L'occasion de découvrir que le candidat est un pro de l'ouverture des noix de coco. Si «Top Chef» ça foire, il pourra toujours tenter «Koh-Lanta».

Justine est chargée des tuiles de phyllo, à ne pas confondre avec les tuiles en philo, qui est ce qu'on se tapait au lycée:

Un vrai challenge.

Petit moment de tension quand les tuiles prennent plus de temps à cuire que prévu. L'occasion pour Adrien, ou «Adri» pour les intimes, d'énoncer notre nouveau mantra:

À répéter tous les matins de la quarantaine.

Mory, lui, prépare une recette autour de la banane flambée, avec «des formes un peu difformes»:

Tout se passe bien pour lui, donc on n'a pas grand-chose d'intéressant à vous raconter. Vous savez comment fonctionnent les médias: nous, tout ce qui nous intéresse, c'est le drame et les scandales.

Ce qu'on ne trouvera pas non plus du côté de Mallou et Davou, même si les deux membres de la brigade d'Hélène Darroze sont «chauds bouillants».

Les candidats, qui semblent partis dans leur propre univers parallèle, nous ont aussi ressorti l'attirail d'inspiration ninja qui leur avait porté chance la semaine dernière. On les aime bien, mais on aimerait presque qu'ils perdent l'épreuve, juste pour qu'ils enlèvent leurs bandeaux et arrêtent d'imiter Bruce Lee.

Ça devient franchement gênant, là.

Bon, ceci dit, ils sont très bien partis pour l'emporter à nouveau avec leur dessert à la pomme, avec une réduction de cidre caramélisée qui a l'air incroyable.

Pour la présentation, ils font des roses avec des fines tranches de pommes, on voit qu'ils ont passé beaucoup de temps sur Pinterest et Instagram (mais on doit dire que les leurs sont particulièrement belles et délicates).

C'est pas ultra novateur, mais c'est quand même très très très beau.

Ah, Davou a un message d'encouragement:

C'est bien!

C'est dans la brigade d'Etchebest, jusque-là sans problèmes, que la tension monte d'un cran. Enfin un peu d'action grâce à Diego, en équipe avec Martin: pour ne pas changer, notre hispanophone préféré est à 356%.

Épuisant.

Leur dessert tourne autour de la combinaison courge-café –puisqu'on vous dit que c'est la saison de l'audace. Ah, mais attendez! Ce n'est pas tout: ils mettent aussi des pruneaux, du pomelo, de la menthe et du granola dans leur recette. Un peu too much, comme Diego. Ce que leur fait remarquer Etchebest.

Martin, l'incarnation du bon élève, humble, à l'écoute et gentil, comprend tout de suite ce que son chef veut dire et veut repenser le plat. Mais Diego, qui a décidé de reprendre le flambeau de Jordan, n'est pas convaincu et nous dit que ça lui «casse les couilles» de tout changer. Charmant.

Le candidat fait un petit caca nerveux et nous explique ensuite:

Comme nous après notre quatrième choré de la journée face à notre miroir.

Heureusement, DJ Diego est plus raisonnable que Jordan, et après avoir tapé sa petite crise, il se calme et accepte de changer la recette pour finalement servir une très, très belle assiette.

Quant à Gratien, l'amateur impressionnant de cette saison, il est mis à mal lors de l'épreuve par son manque de bases techniques en pâtisserie. On doit dire que sa chantilly à la coriandre nous déclenche un orgasme direct, mais il a beaucoup plus de mal sur le reste de la recette.

Nous en cuisine.

En plus, le candidat se trompe et utilise du cerfeuil au lieu de la coriandre (après le radis à la place du navet et le sel à la place du sucre, les candidat·es ont vraiment du mal cette année).

Gratien a l'air un peu au bout de sa vie. Seul face au congélo, il répète: «C'est dur “Top Chef”, c'est dur “Top Chef”, c'est dur “Top Chef”.» Franchement, c'est une bonne stratégie pour exorciser la peur. Nous, tous les soirs dans notre lit, on va commencer à se répéter: «C'est dur la quarantaine, c'est dur la quarantaine, c'est dur la quarantaine.»

Passons à la brigade de Michel, aka Nastasia. Son seul et unique espoir. La candidate décrit: «Ma première stratégie, c'est de passer le côté visuel, ma deuxième stratégie de passer le côté gustatif.» C'est pas une stratégie ça, ce sont juste les consignes de l'épreuve.

La situation est assez mal barrée: la candidate fait des fleurs à base de carottes, et quand on les compare aux roses de Mallou et Davou, elles sont vraiment tristes à voir.

Ça ressemble à un projet d'arts plastiques raté.

Michel est au bord du gouffre, et quand la panna cotta de Nastasia ne prend pas, il se met à casser de la glace avec elle pour l'aider, dans un dernier geste de désespoir. Elle essaie de se débarrasser de lui en lui disant de ne pas s'inquiéter, ce à quoi il lui rétorque: «Mais si, je m'inquiète! Je veux que ça marche.» Pauvre Michel.

Passons au jugement. Première étape: l'élimination d'une assiette sur le plan visuel. Michael Bartocetti est ultra gentil et trouve des trucs sympas à dire sur toutes les assiettes. Sans grande surprise, c'est celle de Gratien qui est écartée.

Tous les desserts ont l'air délicieux, mais c'est celui de Davou et Mallou qui remporte la première place (on va encore avoir droit aux ninjas la semaine prochaine), et celui de Diego et Martin prend la deuxième place. Comme quoi, écouter son chef, ça paie. Les autres partent en deuxième épreuve.

Deuxième épreuve

Après une épreuve de desserts, l'émission continue sur sa lancée gourmande avec un thème un peu plus appétissant que les moisissures et les épluchures: le bœuf! La guest star: Christophe Hay, un chef deux étoiles qui est aussi éleveur de bœufs wagyu (ceux qui donnent traditionnellement le bœuf de Kobe).

Au sujet de ces vaches d'exception, il précise qu'«il faut vraiment les chouchouter au maximum, donc: massage tous les matins, musique au quotidien, ça va leur permettre de se sentir bien et d'être détendues. [...] C'est ambiance yoga, c'est vraiment détente maximum, pleine nature, au calme.» Bref, ces vaches ont la vie qu'on voudrait avoir en ce moment.

Mais revenons à l'épreuve. Le défi des candidat·es sera de cuisiner ce fameux bœuf en deux façons: cru et cuit.

Dès que l'épreuve commence, on sent que ça va être très très dur de regarder toutes ces sublimes pièces de bœuf qui crépitent dans les poêles alors que nous, on mange des coquillettes à rien depuis cinq jours.

Gratien, le «sanglier des Ardennes», est super content de cuisiner de la viande et nous promet du grand spectacle.

Le candidat part sur un bœuf carotte. Un choix assez classique, mais on sent qu'il maîtrise, surtout lorsqu'on aperçoit son jus de viande.

On a envie de se plonger dedans.

Adrien, de son côté, nous fait un plat japonisant. Paul Pairet, toujours complètement sous le charme de son candidat, pense que c'est audacieux, alors que pour du bœuf de Kobe, c'est pas non plus l'idée la plus révolutionnaire.

Pour le cru, Adrien va réaliser un shabu-shabu, c'est-à-dire un bouillon aromatique dans lequel la viande sera trempée, à ne pas confondre avec «chabout chabout», qui est ce qu'on dit quand on prépare l'eau des pâtes. MDR. Ça y est, la quarantaine a dévoré notre cerveau.

Pour ce plat, Adrien fait un bouillon à base des feuilles du jardin et explique qu'il est «inspiré entre le sous-bois et le Japon». Toujours aussi perché, celui-là.

Bon, on se moque, mais son bœuf laqué a l'air ouf.

Passons à Justine, qui prépare des rouleaux de bœuf au pesto et des pavés de bœuf saisis au barbecue.

Nous aussi, Justine, nous aussi.

Toujours aussi énergique et adorable, la candidate lance qu'elle veut «choquer: vous croyez que ça va être japonais, et bah en fait non, c'est italien!» –sauf qu'il y a littéralement «à l'italienne» dans l'intitulé de son plat, donc pour la surprise, on repassera.

Nastasia, elle, est très inspirée! Ça fait du bien de ne pas la voir complètement dépassée par la vie. Comme Adrien, elle fait un shabu-shabu, et elle nous apprend qu'en tant que saucière professionnelle, elle a tous les atouts pour réussir cette épreuve autour de la viande.

On l'espère vraiment, parce qu'ON NE PEUT PLUS SUPPORTER DE VOIR MICHEL DANS CETTE SITUATION. La période actuelle est déjà assez difficile comme ça, et comme la France en ce moment, Michel a besoin d'un peu de répit.

À qui le dis-tu.

À un moment, Nastasia dit à Michel qu'elle n'a pas encore choisi la garniture, et le chef est en PLS.

Quand on t'annonce que le remède miracle du professeur Raoult n'en est en fait pas un.

Heureusement, la chef se ressaisit vite, et sa cuisson a l'air parfaite. Nastasia est née pour faire du bœuf. On y croit!

Quant à Mory, il a choisi de faire un bœuf-pommes de terre, un choix très classique. Tout de suite, le jeune chef annonce qu'il ne se sent pas en confiance dans cette épreuve ou, comme il dit, qu'il n'est «pas très clair dans sa tête». On sent que c'est mal barré pour lui lorsqu'il déclare de lui-même: «Pour moi, cette assiette, elle raconte rien.» Le pauvre :(

Pour essayer de rendre ses patates plus belles, Mory dévoile une astuce de chef apparemment très répandue dans les cuisines de restaurants: frotter ses patates sur une éponge (lui, il appelle ça un «tampon vert»). C'est un peu comme quand tu sais que tu es en train de faire un hors-sujet en contrôle de philo, mais que du coup, t'y vas à fond dans le délire.

On est sur un degré élevé d'inutilité, quand même.

Décidément, il n'y a vraiment personne qu'on a envie de voir partir, et on sent que l'élimination de cette semaine va encore être très dure.

Arrive enfin la dégustation, et on serre les fesses en espérant que par miracle (ou un acte de générosité inédit de la part des producteurs de l'émission), Stéphane va annoncer que cette épreuve est en fait non éliminatoire. L'espoir fait vivre.

Le plat de Nastasia plaît beaucoup au chef Hay, et on n'a jamais vu Michel aussi soulagé et heureux. Le plat d'Adrien semble aussi bien parti pour se qualifier. Le candidat est «content».

Quand tu réalises que tu vas pas pouvoir pécho jusqu'en juin.

Arrivent, enfin, les résultats. On a le cœur qui bat la chamade, mais on pousse un grand cri de joie lorsqu'on découvre que Nastasia est le coup de cœur du chef! Michel est au bord des larmes, nous aussi, on entend les voisins en liesse de l'autre côté de la rue.

La France entière se réjouit pour Michel, y compris Stéphane Rotenberg, le pom-pom boy attitré de l'émission:

Quel amour.

Pour le reste, le choupi Gratien est le deuxième choix, et Adrien arrive en bas du podium.

Ce qui signifie que Justine et Mory sont tous les deux en dernière chance. Stupeur et consternation. On a le cœur brisé d'avance.

Dernière chance

C'est donc l'heure de la dernière chance, et «Top Chef» a décidé de se surpasser pour l'occasion: Paul Pairet sera le seul juge et devra choisir, les yeux bandés et à l'aide d'une seule bouchée, quel membre de sa propre brigade éliminer. La torture suprême. Bande de sadiques!

Mais avant ça, il est l'heure de rééquilibrer les brigades. Le moment tant attendu, comme la réunification dans «Koh-Lanta», qui va venir pimenter cette saison.

Philippe Etchebest, qui est désormais le seul à avoir trois candidats, doit se séparer de l'un d'entre eux pour le refiler à Michel (pauvre Michel). On espère secrètement que Michel héritera de Martin, mais évidemment, c'est Diego qui finit par changer d'équipe (pauvre Michel).

En même temps, le choix est logique, puisque Martin, c'est l'incarnation de la technique, et que Gratien, c'est le poulain d'Etchebest. On espère juste que Diego ne va pas se transformer en nouveau Jordan et créer un deuxième fritegate. Michel mérite mieux que ça.

L'épreuve de la dernière chance démarre enfin et le thème sera les huîtres, un aliment qui divise les autrices de ce récap, l'une d'entre elles considérant qu'il s'agit de «morve aromatisée à l'eau de mer».

Cela dit, peut-être qu'avec du fromage, ça peut passer; en tout cas, la recette au bleu de Justine semble assez ~audacieuse~.

Mory, lui, opte pour une association plus fraîche, avec une gelée de concombre et un coulis de mangue. Mais bon on s'en fout un peu, on veut juste savoir qui des deux va quitter l'émission.

La dégustation est une véritable torture pour les fans de Justine que nous sommes. Paul Pairet prend TOUT SON TEMPS pour déguster ses bouchées –honnêtement, c'est assez perturbant.

Quand tu dégustes amoureusement ta dernière mousse au chocolat.

Le suspense est à son comble. Justine se sent mal. Nous aussi. Et alors que la tension n'a jamais été aussi élevée, M6 nous inflige une énième coupure pub –l'occasion de faire quelques exercices de respiration en regardant des annonces pour des produits qu'on ne peut même plus acheter.

Le couperet tombe enfin: Paul Pairet choisit la bouchée de Mory, et c'est donc Justine qui doit quitter la compétition. On pleure déjà sur notre canapé en voyant la candidate très émue de partir mais toujours positive.

Paul Pairet lui dit que c'est «le rayon de soleil de la brigade» et là, les larmes aux yeux, Michel prend la parole pour dire que c'était un «rayon de soleil sur tout le concours» et qu'elle a participé à «faire briller “Top Chef”». On est en larmes et on a envie de lui dire que c'était le rayon de soleil de toute la France.

On est malgré tout contentes que Mory reste, et on espère qu'il va aller très loin.

En vrac

– Cette saison, «Top Chef» a vraiment fait un effort pour inviter des chefs engagés avec des approches très éthiques et écolos sur les produits et la cuisine. Par contre, six épisodes sans aucune femme cheffe invitée, ça fait beaucoup. C'est pas la saison de l'audace, c'est la saison de la testostérone.

Heureusement, la semaine prochaine, Stéphanie Le Quellec, la gagnante de la saison 2 de «Top Chef», revient pour juger l'une des épreuves. S'ils ont besoin d'autres suggestions d'invitées, ils peuvent nous écrire; on pourra même en trouver qui n'ont jamais fait «Top Chef»!

– Chaque flash-back vers le chef sucré-salé augmente notre espérance de vie et nous fait oublier qu'on n'a pas vu le soleil depuis quinze jours.

– Le sucre glace sur la viande, ça paraît sacrilège, mais quand on voit le résultat, on se dit qu'on devrait peut-être essayer. Sauf que chez nous, on n'a ni viande, ni sucre glace.

– Nous face au dernier œuf qu'il nous reste:

– Astuce quarantaine:

– Nous quand on inspecte nos placards:

– Adrien et sa compagne franco-japonaise, c'est un peu comme Jordan et son fils –surtout quand il présente son plat en disant «y a ma compagne», comme si ça allait le rendre meilleur.

– Le chef Hay se plaint de devoir classer tous les plats. Ça va mec, t'as bouffé seize versions différentes de boeuf wagyu pendant que nous, on est enfermées à manger du pain rassis.

– Euh Justine, on fait de notre mieux en période de quarantaine, c'est pas très sympa.

«C'est assez long de torcher ses bananes»: une phrase que l'on ne peut entendre que dans «Top Chef».

En vrai, cette émission, c'est un peu le seul truc qui nous fait tenir de semaine en semaine. Alors vivement la semaine prochaine!

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