«Do not go gentle into that good night/Old age should burn and rave at close of day/Rage, rage against the dying of the light.»
Dans Interstellar de Christopher Nolan, on entend à plusieurs reprises, récitée par les personnages –et en premier lieu par Michael Caine–, la villanelle Do not go gentle into that good night («Ne rentre pas tranquillement dans cette douce nuit») de Dylan Thomas, écrite par le poète gallois deux ans avant sa mort en 1953.
Or, ce n'est pas la première fois que la télé ou le cinéma américain puisent dans ce poème.
Nos confrères de Slate.com ont ainsi réalisé un petit montage entremêlant images et sons d'Interstellar à ceux de la série Les Griffin, des films A fond la fac (1986) et My Girl (1991) ou encore de Independence Day (1996), où le président Bill Pullman utilise une version légèrement modifiée d'un de ces vers.