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La femme serait-elle l'avenir de la mafia?, se demande l'Express. « Des faubourgs de Naples à ceux de Lagos, des cartels mexicains aux gangs australiens, elles s'imposent de plus en plus dans un univers considéré - à tort - comme masculin à 100% », explique le journal.
L'Italie, spécialement, n'échappe pas à la règle. Ainsi Guys Vitale, aujourd'hui repentie, fut la première «femme boss» de Cosa Nostra en 1998 en dirigeant un secteur près de Palerme.
La plus puissante est aujourd'hui Maria Gema Avilés. Cette Nicaragueyenne est considérée comme « une actrice clef du trafic de drogue en Amérique centrale. Recherchée par les polices de la région, elle traite d'égale à égal avec Juan Carlos Ramirez Loida, alias « Chupeta » (Sucette), l'un des chefs du cartel colombien du Norte del Valle. Un exploit, sur ces terres machistes », explique l'Express.
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The Godmother, CC
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