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Recours «excessif» à la force lors d'une interpellation, fouille de sécurité «injustifiée» ou placement en rétention administrative comparable à de la «maltraitance» : la Commission a traité depuis sa création en 2000 soixante-cinq dossiers concernant des mineurs (environ 10% du total), «dont 50 ont fait apparaître un ou plusieurs manquements».
Mais, souligne-t-elle, «la répétition de certains manquements donne à penser qu'ils sont beaucoup plus répandus que les chiffres ne le laissent supposer».
La Commission recommande notamment de ne pas «choquer les enfants des personnes qu'ils interpellent par la force» et de les «prendre en charge après l'intervention».
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