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Qui sonne le glas de la lutte antidopage sur le Tour de France?

Temps de lecture: 2 minutes

«A l'heure qu'il est, sans aucun doute» répond le quotidien. Après des années de lutte intense et de compétitions émaillées par des affaires mettant en cause les favoris, «cet automne, le ton a soudainement changé» du côté de Amaury Sport Organisation (ASO), propriétaire de l'épreuve, explique Sud Ouest.

Le groupe a en effet décidé de se rapprocher de l’Union Cycliste Internationale (UCI), dont le septuple

vainqueur du tour Lance Armstrong est très proche, et à renvoyer Patrice Clerc, ancien président d'ASO et partisan d'une Grande Boucle plus «éthique».

Actuellement, «les conditions de la lutte antidopage sur le Tour 2009 sont encore très floues». Pour les tests, l’UCI devrait remplacer l'Agence Française de lutte contre le dopage (AFLD) pourtant très performante en 2008.

Cette dernière est peut-être trop performante justement: elle «a fait preuve d'une telle efficacité l'année dernière que d'autres scandales ne sont pas à exclure si elle intervient de nouveau. En filigrane, se pose évidemment le cas Armstrong.»

Photos Flickr geirarne et eugene

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