Voitures piégées, mortiers, fosses communes ou tunnels, voici ce que les forces irakiennes découvrent ou récupèrent dans les villages repris aux mains de l'État islamique en avançant vers Mossoul. Retour en images.
Région de Hamam al-Alil, le 8 novembre. | Ahmad al-Rubaye / AFP
Des forces irakiennes inspectent une voiture piégée avant qu'elle ne soit démantelée. L'opération pour reprendre Mossoul à l’État islamique a commencé le 17 octobre dernier.
Région de Hamam al-Alil, le 7 novembre. | Ahmad al-Rubaye / AFP
Deux soldats des forces irakiennes sortent un corps d'une fosse commune. Des dizaines de milliers de combattants se dirigent actuellement vers Mossoul à partir de l’Est, du Nord et du Sud, avec le soutien des bombardements aériens de la coalition internationale menée par les États-Unis.
Qaraqosh (aussi appelé Hamdaniya), à 30 kilomètres à l'est de Mossoul, le 7 novembre. | Safin Hamed / AFP
Un soldat de l'armée irakienne se tient devant un tank et des munitions consiqués à l'État Islamique. Le 2 novembre, les forces spéciales irakiennes sont entrées dans la ville par l'Est.
Qaraqosh (aussi appelé Hamdaniya), à 30 kilomètres à l'est de Mossoul, le 7 novembre. | Safin Hamed / AFP
Des rampes de lancement de mortiers ont également été récupérées. Depuis le 17 octobre, voitures piégées, mortiers et snipers ralentissent l'avancée des soldats irakiens.
Quartier de Al-Intissar, près de Mossoul, le 7 novembre. | Odd Andersen / AFP
Les chaussures d'un combattant de l'État islamique se trouvent devant un mur criblés de balles et d'éclats de shrapnels. Selon Le Monde, les combattants de l'EI seraient encore entre 3.000 et 5.000 dans Mossoul.
Village d'Imam al-Hamzah, au sud de Mossoul, le 31 octobre. | Ahmad al-Rubaye / AFP
Des combattants paramilitaires chiites de Hached al-Chaabi, une coalition dominée par des milices chiites soutenues par l’Iran, inspectent une usine de fortune utilisée par l'État islamique pour produire des armes.
Bashiqa, le 9 Novembre. | Odd Andersen / AFP
La ville de Mossoul est encore peuplée d'environ 1,5 million d’habitants (dont environ 600.000 enfants) qui ne peuvent pas fuir la ville. Après avoir crié un avertissement, un Peshmerga effectue un de sommation dans un tunnel construit par l'État islamique avant d'entrer dedans.
Bashiqa, le 9 Novembre. | Odd Andersen / AFP
Un Peshmerga s'avance dans le tunnel en pointant le laser de son fusil. Les opérations sont toujours en cours mais les forces kurdes trouvent de moins en moins de résistance alors qu'ils avancent de maisons en maisons pour fouiller le réseau de tunnels construit par l'État islamique pour relier les différentes parties de la ville.