Cachez ces prisons que nous ne voulons pas voir
Vendredi 26 janvier, cela faisait douze jours que les surveillants de prison manifestent leur colère. Un mouvement inédit par son ampleur depuis un quart de siècle qui exprime le mal être des 28.000 gardiens victimes de violences répétées (plus de 4.000 par an), de la surpopulation carcérale et de la vétusté des bâtiments. Twitter s’en émeut et ajoute une autre dimension à cette situation: la radicalisation islamiste.
— 26 janvier 2018 — Temps de lecture : 10 min