«ON EST SUR DEUX PISTES PRINCIPALES ÉVIDENTES: la piste islamiste et l'ultra-droite», sans en écarter d'autres, a déclaré à l'AFP une source proche de l'enquête, selon laquelle «cent trente officiers de police judiciaire traquent aujourd'hui le tueur au scooter.» Toujours selon la même source, les policiers «sont aidés par des profileurs de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), dont certains éléments étaient déjà sur place depuis dimanche (avant l'attaque contre l'école donc) pour enquêter sur l'assassinat de trois parachutistes les jours précédents.»
Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant restera lui aussi sur place, à Toulouse, selon l'AFP.